Merci d'avoir suivi en direct notre couverture des événements en Syrie. Nous vous donnons rendez-vous demain matin.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres "est très préoccupé par les récentes violations importantes de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Syrie. Le secrétaire général est particulièrement préoccupé par les centaines de frappes israéliennes dans plusieurs lieux en Syrie", a déclaré Stéphane Dujarric, soulignant le "besoin urgent d'une désescalade sur tous les fronts à travers la Syrie".
Le patriarcat grec-orthodoxe d'Antioche et de tout l'Orient a démenti dans un communiqué les informations qui circulent sur les réseaux sociaux et selon lesquelles l'archevêque grec-orthodoxe d'Alep Boulos Yazigi, enlevé en Syrie en 2013, a été retrouvé vivant.
"Après enquête menée par le Patriarcat pour vérifier la véracité de ces informations (...) le Patriarcat affirme que ces allégations sont infondées".
Pour en savoir plus sur cet enlèvement, lire notre enquête sur trois volets ici.
⚡La Jordanie annonce qu'elle accueillera samedi un sommet sur la Syrie avec diplomates occidentaux, turcs et arabes, indique l'AFP.
Le ministre libanais sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a affirmé que Ali Mamlouk, conseiller à la sécurité intérieure de l’ancien président syrien Bachar el-Assad et directeur du Bureau syrien de la sécurité nationale, ne se trouvait pas au Liban.
"Selon les informations des services de sécurité libanais, Ali Mamlouk n’est pas présent au Liban et n’est entré par aucun point de passage légal, a déclaré M. Maoulaoui à l’Agence nationale d’information (Ani, officielle). Les services de renseignement ont confirmé qu’il n’est pas sur le territoire libanais."
▶️ Plus d'informations ici.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est dit profondément préoccupé par "les violations récentes et étendues de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Syrie", a déclaré le porte-parole de l'ONU, Stéphane Dujarric, cité par Reuters.
"Le secrétaire général est particulièrement préoccupé par les centaines de frappes aériennes israéliennes sur plusieurs sites en Syrie, soulignant le besoin urgent de désescalade de la violence sur tous les fronts à travers le pays", a déclaré M. Dujarric aux journalistes.
⚡ La Russie a établi des contacts directs avec le comité politique du groupe rebelle islamiste syrien Hay'at Tahrir al-Cham, a rapporté l'agence de presse russe Interfax en citant le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhail Bogdanov.
M. Bogdanov a également déclaré que Moscou vise à maintenir ses bases militaires en Syrie afin de continuer à "lutter contre le terrorisme international" dans le pays.
Les Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les Kurdes sont "essentielles" pour empêcher la reprise du groupe jihadiste État islamique (EI) en Syrie après la chute de Bachar el-Assad, a affirmé le chef de la diplomatie américaine Anthony Blinken cité par l'AFP.
"À l'heure où nous souhaitons voir cette transition vers un gouvernement intérimaire, vers une meilleure voie pour la Syrie, il faut également veiller à ce que l'EI ne réapparaisse pas. Et les FDS sont essentielles pour s'assurer que cela n'arrive pas", a-t-il affirmé lors d'une visite en Jordanie.
Le conseiller américain à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, a déclaré qu'après la chute du président syrien, Bachar el-Assad, Israël était maintenant "plus fort, l'Iran "plus faible" et que les mandataires de Téhéran avaient été "décimés".
"Nous ferons en sorte que le Hamas ne puisse plus jamais menacer Israël comme il l'a fait le 7-octobre, jamais. L'équilibre des forces au Moyen-Orient a considérablement changé (...). Israël est plus fort, l'Iran est plus faible, (et) ses mandataires sont décimés", a déclaré M. Sullivan lors d'une conférence de presse à l'ambassade des Etats-Unis à Jérusalem, après avoir rencontré le Premier ministre, Benjamin Netanyahu.
D'éventuelles frappes sur des sites d'armes chimiques en Syrie pourraient entraîner un risque de contamination et de destruction de preuves importantes, a mis en garde le directeur général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).
"Nous suivons également de près les informations concernant des frappes aériennes visant des installations militaires. Nous ne savons pas encore si ces frappes ont touché des sites liés aux armes chimiques. De telles frappes aériennes pourraient créer un risque de contamination", a déclaré Fernando Arias dans un discours.
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a affirmé que les frappes aériennes israéliennes sur la Syrie depuis l'éviction du président Bachar el-Assad visaient à empêcher que des équipements militaires ne tombent entre de "mauvaises mains".
"L'objectif déclaré de ces actions des Israéliens est de s'assurer que le matériel militaire abandonné par l'armée syrienne ne tombe pas entre de mauvaises mains -terroristes, extrémistes, etc. Mais nous discuterons -nous discutons déjà- avec Israël, nous discutons avec d'autres, de la voie à suivre", a dit M. Blinken.
Le chef des services des renseignements turcs Ibrahim Kalin s'est rendu à Damas. Il a été filmé en train de sortir de la mosquée des Omeyyades de Damas, entouré de gardes du corps, selon des images diffusées par la chaîne privée turque NTV et citées par l'AFP.
Les rumeurs selon lesquelles le chef de la diplomatie turque Hakan Fidan serait aussi à Damas en compagnie de M. Kalin ont été démenties par le ministère turc des Affaires étrangères.
Soutien de groupes rebelles syriens, la Turquie a salué la chute du président Bachar el-Assad dimanche.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken déclare que les États-Unis "travaillent à ramener à la maison" Travis Timmerman, le citoyen américain retrouvé et libéré en Syrie leur ressortissant retrouvé en Syrie, rapporte AFP. Il a aussi mis en garde contre le déclenchement de "nouveaux conflits" en Syrie. "En ce qui concerne de nombreux acteurs ayant des intérêts réels en Syrie, il est également vraiment important, à ce moment précis, que nous fassions tous en sorte de ne pas déclencher de nouveaux conflits”, a-t-il dit.
Des enquêteurs de l'ONU ont établi des listes secrètes de milliers d'auteurs de crimes graves en Syrie et espèrent que la chute de Bachar el-Assad va permettre de poursuivre les coupables présumés au plus haut niveau.
"Il est très important que les auteurs de crimes au plus haut niveau soient traduits en justice", explique à l'AFP Linnea Arvidsson, qui coordonne les travaux de la Commission d'enquête des Nations unies sur la Syrie (COI).
"L'accent devrait être mis sur ceux qui portent la responsabilité principale des atteintes (aux droits humains Ndlr) commises depuis tant d'années, plutôt que sur les auteurs de moindre envergure", insiste t-elle lors d'un entretien à Genève.
Les nouvelles autorités syriennes ont annoncé qu'un citoyen américain nommé Travis Timmerman a été libéré, rapporte l'AFP
Le nouveau pouvoir en Syrie fait état de "recherches en cours" pour retrouver le journaliste américain enlevé Austin Tice et se dit "prêt à coopérer" avec Washington pour retrouver des Américains "disparus" sous Assad, rapporte l’AFP.
Plus tôt dans la journée, des informations avaient fait état d'un homme retrouvé en Syrie qui aurait été identifié comme Austin Tice, mais il avait été rapidement démenti qu'il s'agisse de lui. Selon l'ancien détenu libanais en Iran Nizar Zakka, au micro de la chaîne LBCI, l'homme retrouvé n'est pas Austin Tice mais il s'agirait bien d'un ressortissant américain.
⚡ L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) a indiqué jeudi que plusieurs frappes aériennes israéliennes avaient visé les alentours de la capitale Damas, prise par les rebelles syriens dimanche.
"Des frappes aériennes israéliennes ont ciblé les alentours de Damas", résonnant dans toute la capitale, selon des journalistes de l'AFP sur place. Depuis dimanche, Israël a mené des centaines de frappes contre des sites militaires appartenant à l'armée du président déchu Bachar el-Assad.
Au poste-frontière de Masnaa, principal passage frontalier entre le Liban et la Syrie, les routes sont engorgées par la présence de nombreuses voitures circulant en direction de la Syrie et dans le sens inverse.
Le jour de la chute du régime Assad, le 8 décembre dernier, notre journaliste Caroline Hayek racontait ces deux Syrie qui se croisent à la frontière.
La passation a été pacifique. Le dernier gouvernement du président syrien déchu Bachar el-Assad a remis les clés de l'exécutif au Premier ministre désigné pour assurer la transition, Mohammad el-Bachir, qui était précédemment en charge du Gouvernement de Salut dirigé par Hay'at Tahrir el-Cham (HTC) dans le nord-ouest syrien. Le porte-parole de l'Administration des affaires politiques du groupe islamiste rebelle, Obeida Arnaout, a esquissé pour L'Orient-Le Jour les étapes à venir en Syrie.
Israël a déclaré jeudi qu'il continuerait d'agir pour « assurer la sécurité de ses citoyens », en réponse à un appel de la France l'exhortant à « se retirer de la zone tampon » entre forces israéliennes et syriennes sur le plateau du Golan, rapporte l'AFP.
Dimanche, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé après la chute du président syrien, Bachar el-Assad, avoir ordonné à l'armée de "prendre le contrôle" de la zone tampon du Golan, dans le sud-ouest de la Syrie.
"Cette action était nécessaire pour des raisons défensives en raison des menaces posées par les groupes jihadistes opérant près de la frontière, afin d'éviter un scénario similaire à celui du 7-Octobre dans cette zone", écrit jeudi le ministère israélien des Affaires étrangères dans son communiqué. "Il s'agit d'une opération limitée et temporaire", souligne le texte.
⚡ L'administration autonome kurde dans l'est de la Syrie a annoncé jeudi qu'elle adoptait le drapeau syrien de l'indépendance après qu'une coalition de groupes rebelles a pris le pouvoir dimanche à Damas où flotte désormais cette bannière.
"À la lumière de ce changement historique, le drapeau de l'indépendance (...) est un symbole de la nouvelle phase, car il exprime les aspirations du peuple syrien à la liberté, la dignité et l'unité nationale", a déclaré l'administration, ajoutant qu'elle avait "décidé d'arborer ce drapeau dans l'ensemble des institutions officielles de (..) l'administration autonome", rapporte l'AFP.
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a affirmé que les relations bilatérales entre la Russie et la Turquie ne se sont pas détériorées en raison de la crise syrienne, selon une déclaration relayée par Reuters.
Pour rappel, la Turquie a affiché son soutien aux rebelles syriens lors de leur offensive qui avait pour but de provoquer la chute du régime de Bachar el-Assad, allié de Moscou.
⚡ Une ONG fait état de frappes israéliennes en Syrie, près de Damas, rapporte l'AFP. L'information a également été rapportée par la MTV.
Le nouveau pouvoir en Syrie va "geler la Constitution et le Parlement" pendant la période transitoire de trois mois, a indiqué à l'AFP le porte-parole des affaires politiques des nouvelles autorités, Obaida Arnaout.
"Un comité juridique et des droits humains va être formé pour examiner la Constitution puis effectuer des amendements", a-t-il expliqué. La coalition de groupes rebelles qui a pris le pouvoir dimanche en Syrie a nommé un chef de gouvernement transitoire pour une période de trois mois.
Le G7 s'est dit prêt jeudi à soutenir une transition vers un gouvernement "inclusif et non sectaire" en Syrie et appelé ses nouveaux dirigeants à soutenir les droits des femmes, l'Etat de droit et "les minorités religieuses et ethniques".
"Nous sommes prêts à soutenir un processus de transition conduisant à un gouvernement qui soit crédible, inclusif et non sectaire, qui garantisse le respect de l'État de droit, des droits de l'Homme universels, de la liberté d'expression et de la démocratie", a indiqué le Groupe des 7 dans un communiqué repris par l'AFP, tout en tenant Bachar al-Assad "responsables de ses crimes".
Le département des affaires politiques du gouvernement de transition syrien a exprimé sa gratitude aux huit pays qui ont annoncé la reprise du travail de leurs missions diplomatiques à Damas.
Dans un communiqué repris par Russia Today, il a adressé un message de remerciement à l'Egypte, l'Irak, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn, Oman et l'Italie.
"Nous espérons construire de bonnes relations avec tous les pays qui respectent la volonté du peuple ainsi que la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'État syrien", poursuit le texte.
L'Iran doit faire face à de nouvelles "réalités" en Syrie après la chute du pouvoir, a estimé le chef des gardiens de la révolution, Hossein Salami, dont le pays a été un proche allié du président Bachar el-Assad qui a fui en Russie.
L'Iran "a essayé jour et nuit d'apporter son aide par tous les moyens possibles" au gouvernement Assad, a-t-il affirmé. Après le changement de pouvoir à Damas, "nous devons vivre avec (de nouvelles) réalités en Syrie" et l'Iran doit "adapter sa stratégie en conséquence", a poursuivi Hossein Salami, cité par l'agence de presse officielle Irna.
Nos journalistes assistent, à Damas, aux funérailles du militant Mazen al-Hamada, assassiné par le régime de Assad.
Notre reporter Caroline Hayek fait le point sur place.
Nos journalistes assistent, à Damas, aux funérailles du militant Mazen al-Hamada, assassiné par le régime de Assad. @CarolineHayek fait le point sur place. pic.twitter.com/2PolfJTaUE
— L'Orient-Le Jour (@LOrientLeJour) December 12, 2024
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a atterri en Jordanie où il doit avoir des entretiens sur la Syrie après le renversement de Bachar el-Assad, a constaté un journaliste de l'AFP à bord de son avion.
Le chef de la diplomatie américaine rencontrera le roi Abdallah II de Jordanie et le ministre des Affaires étrangères dans la ville d'Aqaba, sur la mer Rouge, pour évoquer la nécessité d'une "transition inclusive menée par les Syriens, vers un gouvernement responsable et représentatif", selon des responsables américains.
De nombreux militants et membres de familles d'anciens détenus se sont joint au cortège jusqu'à la mosquée de la rue Khaled Ibn Walid où une prière a été prononcée en l'honneur du défunt. Ces funérailles se sont muées en véritable manifestation rassemblant des milliers de personnes. Des slogans prônant la liberté ont été entonnés ainsi que des insultes à l'intention de Bachar el-Assad et des responsables du régime, appelant à ce que ces derniers soient traduits en justice. « On veut voir Assad à La Haye ! [...] Le peuple veut mettre Assad dans l'acide », peut-on notamment entendre dans la bouche des manifestants, selon notre envoyée spéciale. Des tirs en l'air ont été calmés par des individus encadrant de la manifestation.
Après avoir été emprisonné entre 2012 et 2014 dans la prison de l'armée de l'air syrienne, le natif de Deir Ezzor avait témoigné à travers le monde des horreurs commises dans les geôles du régime Assad. Pour de multiples raisons, et après avoir été manipulé par les autorités syriennes, Mazen el-Hamada était retourné en Syrie en 2020 et avait depuis de nouveau disparu, jusqu'à la découverte de son corps à Saydnaya, il y a quelques jours.
Les funérailles de Mazen el-Hamada, célèbre militant de la révolution syrienne, se sont tenues ce jeudi matin dans les rues de Damas.
Après avoir été retrouvée lundi dans la prison de Saydnaya, sa dépouille avait été transférée à la morgue de l'hôpital el-Moujtahed de Damas, où des membres de sa famille sont venus l'identifié.
Selon sa sœur, Amal el-Hamada, interrogée par notre journaliste sur place, Caroline Hayek, Mazen el-Hamada a été tué par pendaison il y a une dizaine de jours, après de multiples actes de torture.
L'ONG Human Rights Watch a estimé que la chute de Bachar el-Assad représentait une opportunité « historique » pour la Syrie de « tourner la page » des violations des droits humains, et appelé les nouvelles autorités rebelles à « montrer l'exemple ».
Pour HRW, la chute du pouvoir d'Assad « offre une opportunité historique pour la Syrie de rompre avec des décennies de répression et de tourner la page des violations des droits humains ». « Un avenir meilleur pour la Syrie nécessite de traiter les abus perpétrés pendant les décennies du gouvernement précédent et par les autres parties au conflit (..) et de protéger les Syriens, quel que soit leur origine ethnique, confession ou affiliations politiques », a poursuivi l'ONG dans un communiqué.
Plus de détails ici.
La coalition rebelle en Syrie a également réitéré son avertissement appelant à ne pas s'en prendre aux gens et propriétés, sous peine de sanctions.
"Nous appelons les rebelles libres à respecter les instructions et à ne pas s'en prendre aux personnes et propriétés", a écrit le "commandement général" de la coalition dans un communiqué sur Telegram. "Tout comportement individuel qui ne respecte pas ces instructions ne nous représente pas et pourra être poursuivi".
Hier, des rebelles avaient notamment mis le feu au tombeau du père de Bachar el-Assad, Hafez el-Assad, dans la province de Lattaquié, tandis que le sanctuaire de Sayyeda Zeinab, à Damas, avait été pris d'assaut.
Pour rappel, hier, le Premier ministre chargé de la transition en Syrie, Mohammad el-Bachir, avait assuré que la coalition dirigée par les islamistes, qui a chassé du pouvoir Bachar el-Assad, « garantira » les droits de toutes les confessions, et appelé les millions de Syriens exilés à rentrer au pays.
Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a déclaré dans la nuit au ministre israélien de la Défense, Israël Katz, qu'il était important que les États-Unis et Israël se consultent étroitement sur les événements qui se déroulent en Syrie, a indiqué le Pentagone mercredi après leur appel, selon Reuters.
"Le secrétaire Austin a souligné l'importance d'une consultation étroite entre les États-Unis et Israël sur les événements en Syrie", a déclaré le Pentagone dans un communiqué. Le chef de la Défense américaine a indiqué à son homologue israélien que Washington surveillait l'évolution de la situation en Syrie et qu'il soutenait une transition politique pacifique et inclusive, selon le Pentagone.
L'armée israélienne s'est déployée dans la zone tampon entre Israël et la Syrie, sur le plateau du Golan partiellement occupé par Israël. C'est la première fois depuis 1973 que l'armée israélienne se déploie sur le territoire syrien.
Bonjour et bienvenue sur notre couverture en direct des événements en Syrie après la chute du régime de Bachar el-Assad.
Nous suivrons tout au long de la journée les développements dans le pays, les grandes déclarations et la situation à Damas, via nos reporters sur place.
Le paysage régional se transforme.
Restez informés pour 1$ seulement !
Cet article est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information de qualité en continu.
Vous avez déjà un compte? Connectez-vous ici
Ali Mamlouk a bel et bien transite par le Liban. Nos officiels le savent. Ils disent le contraire, et ce sont des MENTEURS.
21 h 41, le 12 décembre 2024