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Société - Justice

Que se cache-t-il derrière la volonté de « proroger » les mandats des membres du Conseil supérieur de la magistrature ?

Les magistrats Afif Hakim, Dany Chebli, Mireille Haddad, Habib Mezher et Élias Richa ne s’étaient plus réunis depuis juin 2024.

Que se cache-t-il derrière la volonté de « proroger » les mandats des membres du Conseil supérieur de la magistrature ?

Le logo du Conseil supérieur de la magistrature libanais.

Le Parlement examinera jeudi une proposition de loi, soumise par Ali Hassan Khalil, député du mouvement Amal, visant à proroger les mandats des membres du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) qui ont pourtant expiré le 14 octobre. Les magistrats Afif Hakim, Dany Chebli, Mireille Haddad, Habib Mezher et Élias Richa avaient accédé, le 14 octobre 2021, aux postes de membres du CSM, pour une période de trois ans. Le seul représentant actuel du CSM est son président, Souheil Abboud, qui, selon la loi, reste en fonction jusqu’à son départ à la retraite en 2028.« Le texte a été présenté dans l’esprit d’assurer la continuité du travail judiciaire », assure à L’Orient-Le Jour Kassem Hachem, député du bloc parlementaire du mouvement Amal. « Il s’agit d’un sujet essentiel, d’autant que les circonstances sont graves », ajoute-t-il. Selon une...
Le Parlement examinera jeudi une proposition de loi, soumise par Ali Hassan Khalil, député du mouvement Amal, visant à proroger les mandats des membres du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) qui ont pourtant expiré le 14 octobre. Les magistrats Afif Hakim, Dany Chebli, Mireille Haddad, Habib Mezher et Élias Richa avaient accédé, le 14 octobre 2021, aux postes de membres du CSM, pour une période de trois ans. Le seul représentant actuel du CSM est son président, Souheil Abboud, qui, selon la loi, reste en fonction jusqu’à son départ à la retraite en 2028.« Le texte a été présenté dans l’esprit d’assurer la continuité du travail judiciaire », assure à L’Orient-Le Jour Kassem Hachem, député du bloc parlementaire du mouvement Amal. « Il s’agit d’un sujet essentiel, d’autant que les circonstances...
commentaires (1)

Ils ne veulent pas nous vendre leurs pions sous prétexte de situation critique dans notre pays. Maintenant que la trêve a été annoncée, il faut vite élire un président et le reste suivra. Il n’y a aucune urgence à se précipiter pour placer leurs vendus dans les institutions comme ils ont pris l’habitude depuis des décennies. Ça c’était avant.

Sissi zayyat

15 h 14, le 27 novembre 2024

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Commentaires (1)

  • Ils ne veulent pas nous vendre leurs pions sous prétexte de situation critique dans notre pays. Maintenant que la trêve a été annoncée, il faut vite élire un président et le reste suivra. Il n’y a aucune urgence à se précipiter pour placer leurs vendus dans les institutions comme ils ont pris l’habitude depuis des décennies. Ça c’était avant.

    Sissi zayyat

    15 h 14, le 27 novembre 2024

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