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Société - Focus

Rentrée de l'école publique dans un Liban en guerre : bilan d'un démarrage compliqué

Privilégié dans de nombreuses situations, l'enseignement en ligne est pourtant la bête noire des parents.

Rentrée de l'école publique dans un Liban en guerre : bilan d'un démarrage compliqué

Des enfants déplacés dans une école de Tyr (Liban-Sud). Mohammad Yassine/L'Orient-Le Jour

Deux semaines après la rentrée scolaire de l’école publique au Liban dans un contexte d’escalade du conflit entre le Hezbollah et Israël, plus de 30 000 élèves sur les quelque 300 000 attendus manquent à l’appel, selon les chiffres du ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, et il en va de même pour nombre d’infrastructures. « Quatre cents établissements publics sont fermés (détruits pour certains) car situés en zones de conflits – au Liban-Sud, dans la banlieue sud de Beyrouth ou dans la région de Baalbeck-Hermel (Békaa) », explique le ministre à L’Orient-Le Jour, tandis que plus de 500 autres hébergent des déplacés de ces régions. Dans ce cadre, l’enseignement en ligne s’impose comme la seule alternative possible mais il tarde à démarrer pour des raisons techniques et financières. Pour les parents, c’est la pire des solutions....
Deux semaines après la rentrée scolaire de l’école publique au Liban dans un contexte d’escalade du conflit entre le Hezbollah et Israël, plus de 30 000 élèves sur les quelque 300 000 attendus manquent à l’appel, selon les chiffres du ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, et il en va de même pour nombre d’infrastructures. « Quatre cents établissements publics sont fermés (détruits pour certains) car situés en zones de conflits – au Liban-Sud, dans la banlieue sud de Beyrouth ou dans la région de Baalbeck-Hermel (Békaa) », explique le ministre à L’Orient-Le Jour, tandis que plus de 500 autres hébergent des déplacés de ces régions. Dans ce cadre, l’enseignement en ligne s’impose comme la seule alternative possible mais il tarde à démarrer pour des raisons techniques et financières. Pour...
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