
Un jeune déplacé dans une école à Deir Ammar, au nord de Tripoli. Photo AFP
Dans plusieurs régions du pays, ce mouvement provoque des tensions entre les communautés.
OLJ / Par Caroline HAYEK, le 18 octobre 2024 à 00h00
Un jeune déplacé dans une école à Deir Ammar, au nord de Tripoli. Photo AFP
Merci pour ce reportage sans complaisance sur l’aspect le plus préoccupant de cette guerre . Dure épreuve pour les déplacés Comme pour ceux qui subissent cet exode sans avoir voulu cette guerre . De toutes les épreuves que le Liban a subi jusqu’ici cette dernière est sans doute la plus déchirante et la plus dangereuse .
Je ne suis pas contre aider un être humain s'il est humble au lieu de glorifier ceux qui sont responsables de ce désastre . Ces gens ont été aidés en 2006. résultat la prise de Beyrouth Ouest et l’attaque de la montagne en 2008. Ils ont été aussi accueillis par les Syriens. Résultats ils aident le dictateur Syrien a massacrer leurs aniciens hôtes. Et quid des manifestations pacifiques de 2019 attaquées à coup de bâton alors que les revendications de la Thoaoura concernent ces gens en premier lieu. Quelle ingratitude. C’est bien d’avoir de la compassion mais pas d’être naïf
C’est la censure pour les abonnés révoltés??
Ou sont passés mes autres commentaires L’OLJ?
Libanais, unissons nous en tant que patrie, rêvons de paix et de justice. C'est le bon moment . En espérant que ceux qui étaient prêts à donner leur vie à HN et qui ont fuit pour des contrées plus sympas, ont compris que notre force est notre union libanaise.
Je ne souhaite pas polémiquer sur ce sujet sensible mais je ne peux pas m’empêcher de me rappeler les interviews, avant cette guerre provoquée par le Hezbollah, des habitants du Sud et de la banlieue. Ils clamaient haut et fort qu’ils étaient tous prêts à mourir pour le Sayed et pour le Hezbollah. Résultat, ils se sont tous débinés au premier obus pour venir se réfugier dans des régions qu’ils terrorisaient depuis des années. Ça fait des années qu’ils ne payaient aucun sou à l’Etat, qu’ils représentaient 70% des emplis des fonctionnaires et imposaient leur hégémonie sur tous les sujets.
NON,merci Samir, garde les pour toi. Moi, je veux des gens comme moi ou meilleurs !
Enfin un article proche du terrain. Merci à la rédaction. Infiniment plus intéressant que les « suivis en direct » qui ne font que rapporter les communiqués de Tsahal, du Hezbollah, ou des puissances étrangères. C’est le genre de situation décrite dans cet article qui devrait faire l’objet d’un « suivi en direct » quotidien. La « guerre civile » ou plutôt guerre patriotique de libération du Liban de l’occupation safavide est inévitable. Trop d’endoctrinés chez les gens du Sud et trop d’orgueil voir d’arrogance surtout. Malgré bien sûr de nombreuses exceptions, mais qui confirment la règle.
D’une part, entre l’occupation des civils syriens qui ont déjà modifié « le look » de certaines régions ). Marcher en pantoufles dans les rues.. ou en flanelle… cela existe désormais depuis leur arrivée. D’autres part, l’extension et la modification démographique avec l’arrivée des chiites.Si au moins,ces derniers respectaient leurs hôtes et évitaient les louanges à l’égard du Hezbollah, détesté par leurs hôtes.Ben non. Ils débarquent et imposent leurs idées voire drapeaux dans des régions ANTI Hezbollah. Si c’était inversé ? Auraient ils accepté des drapeaux Kataeb ou FL dans leurs régions?
Cet exode pourrait aussi rapprocher les communautés qui finiront par apprendre a se connaitre malgré les premiers apprioris
Merci pour ce reportage sans complaisance sur l’aspect le plus préoccupant de cette guerre . Dure épreuve pour les déplacés Comme pour ceux qui subissent cet exode sans avoir voulu cette guerre . De toutes les épreuves que le Liban a subi jusqu’ici cette dernière est sans doute la plus déchirante et la plus dangereuse .
21 h 20, le 18 octobre 2024