L’alliance entre le patronat et les banquiers est plus indéfectible que jamais
Un projet de nouvelle taxe exceptionnelle rencontre une opposition commune des deux lobbys, qui prévaut sur de nombreux sujets depuis le début de la crise.
Les représentants des organismes économiques reçus par le président de la République de l'époque Michel Aoun, au palais de Baabda, en septembre 2022. Photo ANI
Vent debout depuis près de deux mois contre la possibilité, envisagée par le ministère des Finances, d’instaurer une taxe exceptionnelle sur les profits réalisés sur les remboursements de prêts bancaires en devises pendant la crise, le patronat...
Vent debout depuis près de deux mois contre la possibilité, envisagée par le ministère des Finances, d’instaurer une taxe exceptionnelle sur les profits réalisés sur les remboursements de prêts bancaires en devises pendant la crise, le patronat...
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Si les plans établis par les fossoyeurs n’arrangeaient pas les banquiers, ils les auraient refusés sans scrupules. Alors ils ne sont pas blancs comme ils veulent nous faire croire
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Si les plans établis par les fossoyeurs n’arrangeaient pas les banquiers, ils les auraient refusés sans scrupules. Alors ils ne sont pas blancs comme ils veulent nous faire croire
Sissi zayyat
12 h 04, le 18 août 2024
Il est plus facile et moins dangereux pour sa propre sécurité, de cracher sur les banquiers que sur les politiques, qui eux ont pompé l’argent de l’Etat.
Mago1
14 h 42, le 16 août 2024
Quelle belle bandes de rapaces et gangsters
Lecteur excédé par la censure
09 h 15, le 16 août 2024
The Lebanese people are being held hostages by the elite political class and their public servant appointees, steeped in corruption, who, in cahoots with BDL under Riad Salameh, and the banks that are largely owned by the same political elites, stole the deposits of three generation of Lebanese. We need another insurgency to uproot the elite political class and usher in new progressive politicians to achieve accountability and enact systemic reforms.
Mireille Kang
23 h 53, le 15 août 2024
... Elles doivent en supporter les conséquences. Et le dernier et le plus grand des fautifs est le peuple, celui qui a réélu tous les pourris qui ont pillé l'Etat.
K1000
22 h 48, le 15 août 2024
Cet article semble critiquer des décisions de justice, et notamment du conseil constitutionnel. On ne peut pas d'un côté appeler au respect du droit et critiquer lorsque celui-ci est mis en oeuvre. Il me semble normal qu'il ne puisse pas y avoir de rétroactivité sur les lois imposant de nouvelles taxes. Le premier fautif dans cette affaire est évidemment l'Etat qui a dilapidé l'argent prêté par les banques, argent qui a rempli bien des poches. L'erreur des banques est d'avoir prêté à un tiers insolvable et contre qui elles n'ont aucun levier pour se faire rembourser...
K1000
22 h 47, le 15 août 2024
Ce n’est pas cette alliance qui devrait inquiéter, car elle est naturelle comme partout dans le monde. Non, c’est plutôt le réseau de corruption et de malfaisance avec lequel cette alliance paralyse l’appareil de l’Etat à tous ses niveaux : législatif, exécutif, judiciaire, et sécuritaire. Pire encore, l’incapacité des citoyens d’imposer un renouveau de l’Etat pour défendre leurs intérêts et construire l’avenir de leurs enfants.
Si les plans établis par les fossoyeurs n’arrangeaient pas les banquiers, ils les auraient refusés sans scrupules. Alors ils ne sont pas blancs comme ils veulent nous faire croire
12 h 04, le 18 août 2024