Nous vous remercions d'avoir suivi notre couverture en direct de la guerre de Gaza et de ses répercussions, notamment sur Liban.
Nous poursuivrons notre couverture du conflit dès demain matin.
L'Autorité palestinienne a appelé mercredi des diplomates réunis à Ramallah, en Cisjordanie occupée, à condamner les conditions de détention par Israël de milliers de prisonniers palestiniens.
Le ministère palestinien des Affaires étrangères a invité les représentants de nombreux pays, notamment européens, et des organisations internationales, à visionner trois minutes de témoignages de Palestiniens ayant été détenus dans les prisons israéliennes ces derniers mois.
"C'est contraire à toutes les lois relatives aux droits humains et cela doit cesser", a déclaré Varsen Aghabekian Shahin, la ministre d'Etat aux Affaires étrangères de l'Autorité palestinienne. "C'est une question qui nous préoccupe beaucoup", a-t-elle poursuivi, "nous espérons qu'elle préoccupe aussi le reste du monde".
L'aviation israélienne a franchi le mur du son au-dessus de Saïda et d'autres zones du Liban-Sud, ainsi que dans la Békaa, rapportent nos correspondants dans ces régions.

Photo envoyée par le président de la municipalité à notre correspondant
Le président de la municipalité de Hebbariyé (caza de Hasbaya au Liban-Sud), Ayman Choucair, a appelé "toutes les personnes concernées à aider à éteindre les incendies ravivés aujourd'hui dans les forêts du village, et qui se sont rapproché des habitations", suite à des frappes israéliennes.
Les habitants de Hebbariyé "appellent à l'aide", a déclaré M. Choucair à notre correspondant. Ces feux de forêt se sont déclarés hier, à la suite d'une frappe israélienne, et ont détruit de vastes espaces verts. Les pompiers de la Défense civile libanaise, du Comité sanitaire affilié au Hezbollah et des Scouts d'al-Rissala du mouvement Amal coopèrent pour maîtriser les incendies, selon notre correspondant.
M. Choucair a par ailleurs indiqué que l'incendie s'est rapproché d'une station-service située à l'entrée du village.
Un responsable du Hamas, Hossam Badran, a déclaré à l'AFP que l'"intensification" des "massacres" israéliens dans la bande de Gaza avait pour effet de renforcer les exigences de son mouvement, au moment où des négociations doivent reprendre en vue d'un cessez-le-feu.
Interrogé sur les opérations israéliennes dans la ville de Gaza, où l'armée a renforcé son offensive ces derniers jours, M. Badran a estimé qu'Israël tentait "de faire pression sur les négociations en intensifiant les bombardements, les déplacements et les massacres, en espérant que la résistance (les groupes armés, NDLR) renoncera à ses demandes légitimes".
"Mais elle obtiendra le résultat inverse, car les massacres nous poussent à nous accrocher à nos exigences concernant l'arrêt de la guerre et le retrait de Gaza", a-t-il ajouté. "Nous ne pouvons savoir avec certitude jusqu'à quel point pourront aller les négociations malgré la souplesse que nous avons manifestée", a affirmé M. Badran, accusant le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de tenter "d'empêcher de parvenir à un accord pour des raisons purement personnelles".
Lors des premières heures de l’opération Déluge d’al-Aqsa lancée le 7 octobre au matin par le Hamas en Israël, les combattants du mouvement palestinien ont attaqué dans la région de Sderot un véhicule conduit par un Israélien et qui transportait sept Gazaouis venus travailler légalement dans l’Etat hébreu.
C’est ce qu'a rapporté le quotidien israélien Haaretz mardi, en rappelant que le sort de ces Palestiniens demeure inconnu, certains ayant vraisemblablement été tués et leurs corps toujours pas identifiés.
➡️ Plus de détails ici.

Photo envoyée par la Défense civile des Scouts d'al-Rissala à notre correspondant
Des membres de la Défense civile des Scouts d'al-Rissala (affiliée au mouvement Amal) ont indiqué avoir retiré les décombres et dégagé les routes à Taybé (caza de Marjeyoun) après une attaque israélienne sur cette localité.
Israël a bombardé des zones habitées aux environs de Hebbariyé (caza de Hasbaya) par des munitions au phosphore blanc, selon des témoins locaux cités par notre correspondant. Des incendies ont été déclenchés par ces frappes, ajoutent-ils.

Photo envoyée par des habitants à notre correspondant
L'armée israélienne a lancé quatre missiles sur la localité de Taybé (Marjeyoun), selon des sources sécuritaires citées par notre correspondant.
Le secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah a terminé son allocution.
Nasrallah sur le front libanais :
Nous allons rester prudents, et nous nous préparons au pire. Si Netanyahu insiste à continuer le combat, il mène son pays à sa perte.
🔴 Nasrallah sur un éventuel accord de cessez-le-feu à Gaza :
Si un cessez-le-feu est mis en place à Gaza, notre front (au Liban) arrêtera le combat, nous y sommes engagés car nous sommes un front de soutien. S’il n’y a pas de cessez-le-feu, nous aviserons en temps et en heure.
Si une agression israélienne advient au Liban, nous ne resterons pas les bras croisés, même s'il y a un cessez-le-feu à Gaza.
Nasrallah :
La résistance a lancé le plus grand nombre de missiles avec la mort de Hajj Abou Nehmé et a atteint de nouveaux objectifs. Nous n’avons pas peur de la guerre et l’ennemi le sait.
🔴 Nasrallah s'adressant à Israël :
Lorsque vos chars arrivent à nos frontières, vous savez ce qui les attend. La résistance (du Hezbollah) au Liban est prête et n’a pas peur.
Nasrallah :
Les Israéliens ont d'abord demandé le retrait de la force al-Radwane (unité d'élite du Hezbolla). Mais ils croient quoi ? Il a aussi l'unité Nasr, l'unité Aziz, l'unité Abbas... Tout ce qu'on veut !
Au début, ils voulaient nous éloigner de 3km de la frontière, parce que nos roquettes portent sur 3 à 5km. Ensuite, ils ont su qu’on a des missiles de 8 à 10 kilomètres, ils ont alors demandé qu’on s’éloigne de 10 km. Israël est dans un impasse sur le front libanais !
Nasrallah :
Les objectifs israéliens au Liban ont baissé en intensité. En 2006, ils voulaient détruire le Hezbollah au Liban et ont échoué à atteindre leurs objectifs.
Nasrallah :
L’armée israélienne menace maintenant d’envahir la région au Sud du Litani. Si les Israéliens gagnent à Gaza, ils viendront au Liban.
Nasrallah sur Rafah et les dirigeants israéliens :
Si les Israéliens arrêtent l'opération sur Rafah, ils seront en défaite. L'entêtement de Netanyahu sur Rafah est un signe de la défaite et de la déroute.
Ce sont des fous, des idiots, ceux qui nous demandent de nous retirer au-dessus du Litani. Les Smotrich, les Ben-Gvir, les un tel et un tel...
Nasrallah :
Le monde entier appelle Israël à un cessez-le-feu. Nous accepterons ce que le Hamas acceptera.
Nasrallah :
Tout ce qui se passe à Gaza reflète un échec de l'ennemi. Israël voulait le retour des otages ou l’anéantissement du Hamas. Il n’a rien pu faire en 10 mois.
Nasrallah :
Israël va devoir arrêter la guerre, sinon il va à la dérive. L’ennemi traverse la pire des périodes de son existence, au niveau de l’armée, de l’économie et en termes de perte de crédibilité.
Ils ont même admis avoir lancé la directive "Hannibal", la plupart des civils tués à Gaza ont été tués par l’armée israélienne !
➡️ Plus d'informations ici sur cette directive.
Nasrallah :
Les Israéliens ont peur, pas seulement de la possibilité (pour le Hezbollah) d’entrer en Galilée, mais de l’infiltration de petits groupes en Palestine occupée.
Nasrallah sur la participation du Hezbollah au Déluge d'al-Aqsa :
Nous voulons continuer à faire partie de la bataille du Déluge d'al-Aqsa. Nous voyons les succès et les exploits réalisés au jour le jour. Et l'ennemi voit bien ces succès. Depuis le début, nous avons voulu que ce front de soutien libanais épuise les forces de l'ennemi, sur le plan humain, matériel, économique, psychologique...
Grâce à cette pression, nous pouvons faire comprendre à l'ennemi que le cessez-le-feu au front nord d'Israël dépend du cessez-le-feu à Gaza. Les Israéliens sont conscients qu’il faut arriver à un cessez-le-feu à Gaza parce que c’est le seul moyen d’arrêter les combats dans le Nord.
Nasrallah sur le commandant du parti chiite Hajj Abou Nehmé récemment tué par Israël :
Il a participé à la guerre de 2006, 33 jours sur le front. Il a également dirigé les forces spéciales du bataillon Nasr de 2004 à 2008, et a combattu Daech en Syrie.
Abou Nehmé a combattu au Liban-Sud depuis le début des hostilités en octobre dernier, et jusqu'à sa mort.
Hassan Nasrallah sur les différentes régions commandées par le Hezbollah au Liban-Sud :
Après la guerre de 2006, la région du sud du Litani a été divisée en deux zones militaires. Depuis la mer jusqu'au centre de cette zone, c'est la zone Aziz. De ce point central jusqu'aux fermes de Chebaa, c'est la zone Nasr.
Le Hezbollah indique avoir bombardé des positions d'artillerie israéliennes à Zaoura, dans le Golan syrien occupé, avec des dizaines de roquettes Katioucha, en réponse à l'attaque israélienne dans la Békaa la nuit dernière.
Des avions de guerre israéliens ont franchi le mur du son à deux reprises au-dessus de Saïda, au Liban-Sud, selon notre correspondant. Ils l'ont également fait au-dessus de Beyrouth, selon des habitants.

Capture d'écran al-Manar
⚡ Le secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah a débuté son discours, en commémoration d'un commandant du parti chiite, Mohammad Nehmé Nasser, tué dans une frappe israélienne il y a une semaine.
La diplomatie française a jugé "inacceptable que des écoles, a fortiori abritant des populations civiles déplacées par les combats, soient ciblées" par des frappes israéliennes dans la bande de Gaza.
"La frappe menée hier (mardi, ndlr) sur l'école Al-Awda, et qui a fait plusieurs morts, est la troisième ciblant une école de déplacés depuis samedi dernier. Nous appelons à ce que toute la lumière soit faite sur ces frappes", a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Les derniers développements à la frontière libano-israélienne :
– Des avions de combat israéliens ont pris pour cible une habitation dans la localité de Tayr Harfa (caza de Tyr), la détruisant complètement, selon notre correspondant. Aucun blessé n'est à déplorer pour le moment.
– L'explosion de missiles intercepteurs a été entendue et vue dans l'espace aérien du secteur est du Liban-Sud, selon des habitants cités par notre correspondant.
– L'armée israélienne a indiqué qu'environ 30 roquettes ont été lancées depuis le Liban vers le nord d'Israël, rapporte le Haaretz.
Médecins sans frontières (MSF) alerte sur une "grave" pénurie de matériel médical dans la bande de Gaza, où aucun camion de l'ONG française n'a pu entrer depuis plus de deux mois, alors que la guerre continue de faire rage entre le Hamas et Israël.
"Nous sommes confrontés à une pénurie grave de beaucoup de matériel, comme des compresses" ou des "gants chirurgicaux", a déploré dans une interview avec l'AFP à Paris Amber Alayyan, responsable du programme médical pour la Palestine de MSF. "Aucun camion de MSF n'est entré à l'intérieur de Gaza depuis la fin du mois d'avril", déplorait l'ONG dans un communiqué daté du 5 juillet, exhortant Israël à ouvrir "davantage de points de passage" vers le territoire assiégé.
Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a affirmé que l'armée israélienne avait « éliminé ou blessé 60% » des combattants du Hamas après neuf mois de guerre avec le mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza, évoquant une « réussite » militaire, selon des propos rapportés par l'AFP.
Retrouvez ici tous les détails des propos de M. Gallant.
Le chef du parti israélien de l'Union nationale Benny Gantz a affirmé qu' « il est temps d'exiger un prix pour les cibles militaires et les infrastructures de l'État libanais, dont le Hezbollah fait partie » et de déplacer l'armée israélienne à la frontière Nord avec le Liban.
Retrouvez ici les déclarations de cet opposant à Benjamin Netanyahu.
Le ministère de la Santé a annoncé un nouveau bilan de 38.295 morts dans le territoire palestinien depuis le début de la guerre avec Israël, entrée dans son dixième mois.
Au moins 52 personnes ont été tuées ces dernières 24 heures, a-t-il indiqué dans un communiqué, ajoutant que 88.241 personnes avaient été blessées dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre.
"Les écoles sont passées de lieux sûrs d'éducation et d'espoir pour les enfants à des refuges surpeuplés qui deviennent souvent un lieu de mort et de misère (...) Gaza n'est pas un endroit pour les enfants", a dit sur X Philippe Lazzarini, chef de l'agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa).
Après la frappe sur une école proche de Khan Younès, dans le sud de Gaza, des proches de victimes et de nombreux blessés dont des enfants, des jeunes et des vieillards se sont retrouvés à l'hôpital Nasser de la ville, selon des images de l'AFP.
"Nous étions assis près de la porte de l'école quand soudain des roquettes ont touché un groupe de personnes. Ces gens n'étaient pas armés, ils ne faisaient pas partie de la résistance, ils étaient tous des civils", a affirmé Mohammad Sukkar.
L'armée israélienne a largué des tracts sur la ville de Gaza, appelant "toutes les personnes" dans cette localité du nord du territoire palestinien assiégé à partir vers le sud en empruntant des "corridors de sécurité", a constaté un journaliste de l'AFP.
"A toutes les personnes présentes dans la ville de Gaza, des corridors de sécurité vous permettent de vous rendre rapidement et sans inspection de la ville de Gaza vers des abris à Deir el-Balah et Al Zawiya", indique ce tract vu par un correspondant de l'AFP. "La ville de Gaza reste une zone de combats dangereuse", prévient le texte.
Des sources locales et sécuritaires citées par notre correspondante dans la Békaa Sarah Abdallah ont fait état d'une frappe israélienne menée dans la nuit sur Janta, près de la frontière avec la Syrie, à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest de Baalbeck.
- De son côté, le Hezbollah a revendiqué une opération contre un « bâtiment utilisé par des soldats » de l'armée israélienne à Avivim, qui fait face au village libanais de Aïtaroun (Bint Jbeil).
- Vers 1h du matin, un drone israélien a visé un appartement situé dans un immeuble de Baraachit (Bint Jbeil). Six personnes habitant dans des bâtiments voisins ont été légèrement blessées par des éclats de verre, certaines d'entre elles ont été soignées sur place et d'autres ont été transférées vers les hôpitaux de Bint Jbeil par les équipes de la Défense civile du Comité de santé islamique (affilié au Hezbollah). Il s'agit de déplacés provenant de villages voisins d'Aïtaroun et de Houla.
Au Liban-Sud, la nuit a été agitée et marquée par plusieurs frappes israéliennes qui ont fait pas moins de neuf blessés et déclenché plusieurs incendies dans les régions frontalières ,d'après des sources locales et sécuritaires citées par notre correspondant Mountasser Abdallah :
- Vers 22h, l'aviation israélienne a attaqué par deux fois le village de Kfar Kila (caza de Marjeyoun) et a notamment ciblé une maison dans laquelle trois personnes ont été blessées, dont l'une est dans un état critique. Deux autres habitations de ce même village ont été visées par d'autres raids plus tard dans la nuit, sans que de nouvelles victimes soient à déplorer. Par ailleurs, un drone israélien a ciblé une voiture entre Haddatha et Rachaf (Bint Jbeil), mais le missile a manqué sa cible.
- Vers 23h, l'artillerie israélienne a visé à deux reprises les alentours du village de Yaroun (Bint Jbeil) avec des bombes lumineuses et une dizaine d'obus.
Concernant les affrontements entre le Hezbollah et Israël, sur la ligne de front au Liban-Sud :
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a averti hier le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah : "Nasrallah, si tu ne cesses pas les menaces et la violence (...) tu seras considéré comme le destructeur du Liban".
À Genève, dix experts indépendants de l'ONU ont accusé Israël de mener une "campagne de famine" à Gaza, qui selon eux entraîne la mort d'enfants. "La campagne de famine intentionnelle et ciblée d'Israël contre le peuple palestinien est une forme de violence génocidaire et a entraîné une famine dans toute la bande de Gaza."
Des accusations balayées par la mission israélienne auprès de l'ONU à Genève.
Dans le nord du territoire, les troupes israéliennes ont bombardé par air et terre la ville de Gaza, lors d'une nouvelle offensive majeure contre le Hamas.
Il s'agit des combats "les plus intenses depuis des mois", a affirmé le Hamas, qu'Israël a promis de détruire après l'attaque du 7 octobre.
Trois autres écoles abritant des déplacés ont été touchées depuis samedi par des bombardements israéliens qui ont fait au moins 20 morts selon des sources palestiniennes. Dans ces trois cas, l'armée a dit avoir visé des "terroristes", après avoir accusé le Hamas de "se servir des habitants comme des boucliers humains".
De son côté, l'armée israélienne a dit avoir visé près de l'école "un terroriste de la branche armée du Hamas" ayant notamment pris part à l'attaque du 7 octobre et "vérifier les informations selon lesquelles des civils ont été touchés" dans cette frappe, la quatrième à toucher une école en autant de jours dans la bande de Gaza.
Vingt-neuf Palestiniens ont été tués hier dans une frappe contre une école abritant des déplacés dans le sud de Gaza, a indiqué le Hamas en accusant Israël, au moment où les troupes israéliennes sont engagées dans une offensive majeure dans le nord du territoire.
"Une frappe a visé la porte de l'école Al-Awda d'Abassan, à l'est de Khan Younès (sud). Il y a eu 29 martyrs", a indiqué une source médicale à l'hôpital Nasser de la ville. Le Hamas a accusé Israël en donnant un même bilan de 29 morts, "la plupart des enfants et des femmes". "Ce massacre est la continuation du crime de génocide que l'armée d'occupation a lancé contre notre peuple pour le 10e mois consécutif", a affirmé le bureau de presse du mouvement islamiste.
Bonjour !
Nous sommes au 278e jour de la guerre dans la bande de Gaza. Il s'agit également du 277e jour depuis l'ouverture d'un front au Liban-Sud entre le Hezbollah et l'armée israélienne.
Retrouvez ici notre couverture en direct du conflit et ses répercussions dans la région.
Quelles perspectives pour le Liban et le Moyen-Orient ?
Offre limitée : 3 mois d'abonnement pour 1$ seulement !
Cet article est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Vous avez déjà un compte? Connectez-vous ici
C'est Lazzarini qui est responsable de la transformation de ces écoles de Gaza en positions de tir pour une milice terroriste, y compris les assassins qui ont commis le massacre du 7 octobre. Conformément au droit international, une école utilisée par des personnels armées pour la guerre n’est plus une école. Ce matin encore, un terroriste du Hamas a tué un soldat israélien en lui tirant dessus depuis une école de l'UNRWA. En plaidant pour un cessez-le-feu, Lazzarini, sous le masque de l'humanitaire, tente de sauver ses alliés du Hamas. Journaliste sur la frontière
14 h 14, le 10 juillet 2024