
Une agence bancaire à Sin el-Fil. Photo d'illustration Philippe Hage Boutros/L’OLJ.
OLJ / Par Mounir YOUNES, le 06 juillet 2024 à 00h00
Une agence bancaire à Sin el-Fil. Photo d'illustration Philippe Hage Boutros/L’OLJ.
La strategie des politichiens et des caciques de l'etat corrompus et de leurs associes les crapules bancaires est claire. Abolir purement et simplement les depots des Libanais par un coup de baguette magique (du parlement ? Du conseil des ministres ?) et reprendre le "business as usual" comme si les milliards spolies aux epargnants n'avaient jamais existe. Le tout, sans redition des comptes....
Avant la crise, l’activité économique dans le pays s’appelait le miracle libanais. Par la suite, il s’est avéré qu’au lieu de miracle, c’était la plus grande arnaque de tous les temps effectuée par les dirigeants politiques contre leur population et les banquiers contre leurs clients. On a laissé traîné la crise pour que les banques commencent à se faire une santé qu’elles vont utiliser à dégager de nouveaux bénéfices tout en conservant le butin de leur vol de leurs déposants. Ce s’appelle le LIBAN
Bon ben on va emprunter un montant équivalent à ce qu’on avait en banque le 16 octobre 2019. Pour le remboursement, on discutera…
La strategie des politichiens et des caciques de l'etat corrompus et de leurs associes les crapules bancaires est claire. Abolir purement et simplement les depots des Libanais par un coup de baguette magique (du parlement ? Du conseil des ministres ?) et reprendre le "business as usual" comme si les milliards spolies aux epargnants n'avaient jamais existe. Le tout, sans redition des comptes....
09 h 26, le 06 juillet 2024