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Moyen-Orient - ÉCLAIRAGE

Dans le Golfe, la course au leadership sur l'intelligence artificielle

L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis investissent tous azimuts dans les centres de données et les micropuces, chacun ambitionnant de devenir la Silicon Valley du Moyen-Orient.

Dans le Golfe, la course au leadership sur l'intelligence artificielle

Le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdallah al-Swaha, et le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, Bandar Alkhorayef, lors d'un forum organisé par Alat, la nouvelle compagnie saoudienne visant à booster la fabrication de semi-conducteurs de façon durable. Photo compte X @alat_tech

« Nous sommes assez bien placés pour devenir un centre d’intelligence artificielle (IA) en dehors des États-Unis. » Alors que l’industrie des nouvelles technologies démarre à peine en Arabie saoudite, le directeur du Fonds souverain (PIF), Yasir al-Rumayyan, a élevé son pays au rang de future Silicon Valley du Moyen-Orient, lors d’un événement réunissant des acteurs du secteur à Miami fin février. Un objectif partagé par les Émirats arabes unis, qui ont pris une longueur d’avance en investissant massivement dans la tech depuis une vingtaine d’années. Les pétromonarchies possèdent de l’énergie bon marché et des ressources financières quasi inépuisables, deux atouts cruciaux pour mener cette course au leadership de l’IA. Lire aussi L’Arabie saoudite contrainte de réduire l’extravagance de ses mégaprojets Plusieurs exemples illustrent...
« Nous sommes assez bien placés pour devenir un centre d’intelligence artificielle (IA) en dehors des États-Unis. » Alors que l’industrie des nouvelles technologies démarre à peine en Arabie saoudite, le directeur du Fonds souverain (PIF), Yasir al-Rumayyan, a élevé son pays au rang de future Silicon Valley du Moyen-Orient, lors d’un événement réunissant des acteurs du secteur à Miami fin février. Un objectif partagé par les Émirats arabes unis, qui ont pris une longueur d’avance en investissant massivement dans la tech depuis une vingtaine d’années. Les pétromonarchies possèdent de l’énergie bon marché et des ressources financières quasi inépuisables, deux atouts cruciaux pour mener cette course au leadership de l’IA. Lire aussi L’Arabie saoudite contrainte de réduire l’extravagance de ses...
commentaires (5)

- IL Y A DES OPERATIONS, - CHIRURGICALES PAR MILLIONS. - OU LES TETES ARTIFICIELLES, - REMPLACENT LES IRRATIONNELLES.

LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EN PERIL.

20 h 00, le 05 juin 2024

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Commentaires (5)

  • - IL Y A DES OPERATIONS, - CHIRURGICALES PAR MILLIONS. - OU LES TETES ARTIFICIELLES, - REMPLACENT LES IRRATIONNELLES.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EN PERIL.

    20 h 00, le 05 juin 2024

  • 2. Long terme : Développer des capacités en fabrication de micro-puces en investissant dans la R

    Dody

    16 h 10, le 05 juin 2024

  • - IL Y A DES OPERATIONS, - CHIRURGICALES PAR MILLIONS. - OU LES TETES IRRATIONNELLES, - REMPLACENT DES ARTIFICIELLES.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EN PERIL.

    15 h 12, le 05 juin 2024

  • Pour un nouvel entrant dans l’IA, il faudrait combiner deux approches de manière stratégique : 1. Court terme : Investir dans des programmes IA existants. Cela permettra de former les talents et de développer des applications dans divers secteurs. 2. Long terme : Développer des capacités en fabrication de micro-puces en investissant dans la R

    Dody

    13 h 19, le 05 juin 2024

  • Ces technologies de pointes sont compatibles avec les guerres. Et qui dit guerres, dit massacres à grandes échelles, genocides pires que l’holocauste nazis, et vous aimeriez en arriver là.

    Mohamed Melhem

    12 h 49, le 05 juin 2024

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