Des partisans du Hezbollah rassemblés dans la banlieue sud de Beyrouth, le 11 novembre 2023 à l'occasion d'un discours du chef du parti, Hassan Nasrallah. REUTERS/Alaa Al-Marjani
Huit jours entre le premier discours et le second. L’acteur principal reste le même, l’intrigue n’a pas changé, mais le script semble avoir été légèrement modifié. Alors qu’on s’attendait à un ton encore plus virulent qu’en ce 3 novembre, au vu de l’escalade militaire qui a précédé sa deuxième prise de parole, Hassan Nasrallah n’a même pas levé l’index. Pourtant, une première ligne rouge avait été franchie avec la mort de quatre civils libanais dans une frappe israélienne dimanche 5 novembre. Puis une seconde après le raid qui a visé un véhicule à quelque 45 km de la frontière, dans la première frappe en profondeur sur le territoire libanais depuis le début du Déluge d’al-Aqsa. Ainsi, c’est sur un ton calme et posé que le chef du Hezbollah a fait le bilan des développements sur le front sud. Il a annoncé que sa formation avait eu...
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Le jour où un politique libanais pratiquera le "en même temps" de Macron, la situation sera vraiment désespérée ! Là, plus personne ne comprend la position du tout petit président français...
00 h 33, le 14 novembre 2023