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Culture

Une explosion de saveurs à la Hiba Tawaji


Une explosion de saveurs à la Hiba Tawaji

Hiba Tawaji a choisi un répertoire faisant honneur à toutes les grandes étapes de son parcours musical. Photo Press Agency

L’artiste libanaise Hiba Tawaji était de retour samedi soir sur la scène du festival de Byblos pour célébrer ses 15 ans de carrière, là où tout avait commencé pour elle en 2008. Pour l’occasion, la chanteuse a choisi un répertoire faisant honneur à toutes les grandes étapes de son parcours musical, et embarquant son fidèle public dans un univers multiple dont elle seule a le secret. Accompagnée par le producteur et compositeur Oussama Rahbani, directeur musical de cette soirée inaugurale du festival, elle a d’abord rendu hommage au Liban à travers des chansons patriotiques, et fait retentir le poème empreint d’espoir de Mansour Rahbani dans le port de Byblos : « Nous sommes ici et nous ne disparaîtrons pas. Car nous sommes les rochers, la mer et le temps immémorial. »


La chanteuse accompagnée par le compositeur Oussama Rahbani, directeur musical de cette soirée inaugurale du festival. Photo Press Agency

L’artiste a enchaîné avec des titres et des medleys de ses plus grands tubes amoureux issus de ses comédies musicales ou de ses trois premiers albums, magistrale sur Helem, La Bidayi Wla Nihayi et Min Elli Byekhtar, devenu son hymne de libération pour toutes les femmes. Le spectacle était surtout pour elle l’occasion de chanter la quasi-intégralité de son récent opus, avec le single éponyme égyptien Baad Snin, Que Sera Sera, Aa Bali, Dallak Haddi, le dansant al-Oula, La Akheyr Yawm, Habibi Khalas qu’elle a interprété en duo avec Anthony du groupe Adonis ou encore Sar Ahla el-Kawn, dédié à son époux le musicien Ibrahim Maalouf qui assistait pour la toute première fois à l’un de ses concerts.


Hiba Tawaji a donné le « la » samedi soir au festival de Byblos. Press Photo Agency

La star a également interprété Mon amie la rose, chanson-phare de l’aventure The Voice, Caruso et un medley en hommage à Michael Jackson, pour finalement faire danser le public au rythme de la dabké avec Zaman  et Balad el-Tana’od (Le pays des contradictions). Une chanson produite en 2015, mais dont les paroles gagnent en vérité de jour en jour. Celle de Libanais qui vivent dans le plus beau pays au monde, et qui défient au quotidien les lois de la nature.

L’artiste libanaise Hiba Tawaji était de retour samedi soir sur la scène du festival de Byblos pour célébrer ses 15 ans de carrière, là où tout avait commencé pour elle en 2008. Pour l’occasion, la chanteuse a choisi un répertoire faisant honneur à toutes les grandes étapes de son parcours musical, et embarquant son fidèle public dans un univers multiple dont elle seule...

commentaires (1)

Pas d'accord du tout, cette chanteuse a manifestement un bon attaché de presse et le bras long via son mari, mais la multiplication ces dernières semaines d'articles en faisant une idole au Liban est infondée. 1) oui, elle est mignonne et elle sait chanter. Mais elle n'a jamais eu de couleur personnelle ou de souffle. Elle est un sous-produit de la fin de l'ère Rahbani 2) elle s'est surtout fait connaître en chantant en français dans des émissions très grand public médiocres 3) un "bon" mariage à redonné un coup de boost à une carrière stagnante. Je n'ai rien contre elle mais je m'agace de la couverture médiatique dont elle jouit, lorsque des artistes d'une toute autre qualité (comme Tania Saleh ou Rima Khcheich, pour ne citer qu'elles) ne bénéficient pas de la même exposition.

IBN KHALDOUN

16 h 32, le 06 août 2023

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Commentaires (1)

  • Pas d'accord du tout, cette chanteuse a manifestement un bon attaché de presse et le bras long via son mari, mais la multiplication ces dernières semaines d'articles en faisant une idole au Liban est infondée. 1) oui, elle est mignonne et elle sait chanter. Mais elle n'a jamais eu de couleur personnelle ou de souffle. Elle est un sous-produit de la fin de l'ère Rahbani 2) elle s'est surtout fait connaître en chantant en français dans des émissions très grand public médiocres 3) un "bon" mariage à redonné un coup de boost à une carrière stagnante. Je n'ai rien contre elle mais je m'agace de la couverture médiatique dont elle jouit, lorsque des artistes d'une toute autre qualité (comme Tania Saleh ou Rima Khcheich, pour ne citer qu'elles) ne bénéficient pas de la même exposition.

    IBN KHALDOUN

    16 h 32, le 06 août 2023

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