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Agenda - Communiqué

Un certain regard...

C’est le concours « Femme francophone entrepreneure » qui fait couler beaucoup d’encre en ce moment et qui a été créé par l’Agence universitaire de la francophonie et Berytech en collaboration avec L’Orient-Le Jour qui m’a donné l’idée d’écrire cet hommage, ces expressions sur une femme d’affaires d’exception que je vous laisse découvrir derrière ce témoignage et cette description très personnels, à savoir que c’est cet art et ce doigté de gérer ses employés et c’est ce sur-mesure selon les personnalités et les émotivités qui sont souvent derrière la plupart des « success stories » et renommées.

J’ai plaisir à communiquer avec cette jeune dame et me retrouve souvent en train d’envoyer des textos de boulot à cet exemple à suivre par employeurs, supérieurs et patrons.

Seulement voilà, capricieux et fantaisiste, à mon « bonjour madame Fatté » l’autocorrecteur de mon portable qui ne trouve jamais ce mot dans son jargon, glisse allègrement au nom propre « Fatté », un « l » bien zélé et pique un fard de se retrouver alors tout « flatté » !

Sauf que de nous deux, c’est bien moi qui par procuration le suis !

Flattée je suis de côtoyer au quotidien cette femme pétrie d’intelligence, de perspicacité, de philosophie, qui, vive et subtile, au vol et à demi-mot vous saisit.

Flattée je suis de travailler avec une dame qui n’est pas le genre à vous encenser jour et nuit mais qui vous surprend, vous émeut, un jour, comme ça, par une merveilleuse répartie !

Flattée je suis de collaborer avec cette infatigable boute-en-train contrastée dans le fond par une femme pourtant bien assise, pondérée, sage, réfléchie.

Flattée je suis d’opiner du chef aux consignes de cette femme pertinente, bien de sa personne, cultivée, aboutie, mais tout à la fois humble, diplomate, de bonnes manières nantie et combien courtoise et polie !

Flattée je suis par l’exigence, le professionnalisme et le perfectionnisme de ces sœurs siamoises, ce tandem de charme Nayla/Maria et de leur unique compérage, de ce duo qui a su maintenir les lettres de noblesse de son business, poussée à puiser dans les recoins de mon esprit et à m’embellir jour après jour d’une version de moi-même plus affranchie.

Flattée je suis de découvrir au quotidien celle qui demeure dans le passé distingué de son paternel, ancrée, cette lady jusqu’au bout des doigts racée, puisque c’est bien la belle plante de « sitt » Andrée, cette femme que les années épanouissent et bonifient, cette femme de principes, de poigne et de tempérament oui, mais d’un naturel gentil et d’un calme, d’un sourire jamais départis.

Flattée je suis par la bonne humeur que cette femme respire, par l’énergie que cette belle âme dégage, de cette magie qu’en chaque lieu où elle se trouve elle propage, admirative je suis de sa beauté intrinsèque, de son éloquence, de sa classe, vous savez cette classe innée que seule la sobriété anoblit.

Flattée et touchée je suis, sans trop connaître l’aspect privé de sa vie, de la savoir grand-mère, mamie-gâteau je parie, et tellement attendrie d’entendre parfois en arrière-fond d’un appel les gazouillis de ses deux petits !

Flattées en somme nous sommes d’être constamment rassurées par ses grands yeux clairs, de la prendre pour repère, de par elle, ne jamais perdre le cap, d’y trouver un port d’attache à chaque étape, de nous accrocher à cette boussole, à ce gouvernail, de naviguer quand même en mer houleuse, les jours où l’on se sent fragiles ou soucieuses puisque enfin elle demeure à juste titre pour nous, son fidèle équipage, pour nous, sa petite et sa grande famille : « Le capitaine de nos vies »...

C’est le concours « Femme francophone entrepreneure » qui fait couler beaucoup d’encre en ce moment et qui a été créé par l’Agence universitaire de la francophonie et Berytech en collaboration avec L’Orient-Le Jour qui m’a donné l’idée d’écrire cet hommage, ces expressions sur une femme d’affaires d’exception que je vous laisse découvrir derrière ce...