Gérard Avedissian emporte avec lui les souvenirs d’une Beyrouth éternelle
« Lorsque je mourrai, célébrez ma vie et portez-lui un toast en buvant un verre. Surtout ne pleurez pas », avait-il dit à la comédienne Nada Abou Farhat. Il est parti le poète, le peintre, auteur, metteur en scène et comédien. Parti après quatre mois de lutte stoïque contre la maladie, emportant avec lui les souvenirs de sa Beyrouth outrancière, blessée, triste et joyeuse, chère à son cœur.
Gérard Avedissian, fantasque, exubérant, drôle et généreux comme le disent ses amis. Son seul grand amour était le théâtre où il évoluait comme si c’était un chez soi. Photo DR
« Aujourd’hui, à l’aube de mes 70 ans, j’ai encore l’âme d’un jeune homme de 18 ans. Je ne cesse d’écrire, de peindre et d’avoir des projets. Je me remplis de la vie. Si on est vide de l’intérieur, c’est qu’on est déjà mort ». Tels étaient ses...
« Aujourd’hui, à l’aube de mes 70 ans, j’ai encore l’âme d’un jeune homme de 18 ans. Je ne cesse d’écrire, de peindre et d’avoir des projets. Je me remplis de la vie. Si on est vide de l’intérieur, c’est qu’on est déjà mort ». Tels étaient ses...
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commentaires (2)
Au-revoir Gerard; Une force de la nature, tu laisse une empreinte joyeuse dans nos coeurs
Irene Souki
19 h 41, le 16 avril 2023