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Économie - Focus

Les « mobile bars » surfent sur la soif de fête des Libanais

Le concept est apparu il y a une bonne dizaine d’années et continue de séduire les fêtards et les barmans.

Les « mobile bars » surfent sur la soif de fête des Libanais

Les bars mobiles ont la cote auprès d’une tranche de la population libanaise qui a encore les moyens de faire la fête malgré la crise. Photo DR

Cynthia Haddad est ravie. Après plusieurs allers-retours, son nouvel outil de travail est enfin prêt, juste à temps pour le début de la saison. Il s’agit d’un bar en bois fabriqué par un menuisier de Gemmayzé, non loin du centre-ville de Beyrouth....
Cynthia Haddad est ravie. Après plusieurs allers-retours, son nouvel outil de travail est enfin prêt, juste à temps pour le début de la saison. Il s’agit d’un bar en bois fabriqué par un menuisier de Gemmayzé, non loin du centre-ville de Beyrouth....

commentaires (3)

Ditto.

Remy Martin

15 h 44, le 01 avril 2023

Tous les commentaires

Commentaires (3)

  • Ditto.

    Remy Martin

    15 h 44, le 01 avril 2023

  • Concernant l'éthique de l'idée des bars, je suis personnellement pour. Dans les guerres et pendant les périodes de crise à travers le monde, l'alcool à souvent été le refuge principal de la population anéantie par les désastres. Ceci dit, il y a une grande différence à deux niveaux avec ce qui se passe actuellement au Liban: la première est que l'on doit absolument contrôler les prix de la boisson, qui devrait s'aligner vers des "sorties" de bas budgets. En second, danser devrait être systemaquement interdit, ainsi que la musique qui devrait être calme, entraînant des pauses agréables sans toutefois être insultante pour ceux qui décident de les boycotter. Une soirée en pleine lune accompagnée d'une tenue "casuel" peut aider la population à tenir le coup. Tant que c'est dans la limite du raisonnable, et considération pour une population qui souffre l'enfer.

    Raed Habib

    15 h 34, le 01 avril 2023

  • Je suis étonné par la légèreté intellectuelle de l'équipe rédactionnelle de votre éminent journal. Il ne se passe pas trois ou quatre jours sans un article sur l'ouverture d'un nouveau bar ou d'un restaurant chic et choc. Le pays s'effondre et quelques libanais fortunés se goinfrent ou se saoulent. Le Liban est un Titanic qui sombre alors que les passagers font la fête. Un peu de dignité de la part de votre journal, je vous en supplie.

    Simon Manassa

    08 h 26, le 01 avril 2023

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