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Monde - Conflit

L’ONU tente de tout faire pour sauver l’accord sur les céréales ukrainiennes

L’avenir de l’accord sur l’exportation des céréales ukrainiennes – qui a permis d’atténuer une crise alimentaire mondiale – reste incertain et l’ONU tentait mardi de tout faire pour qu’il se poursuive au-delà de la date butoir du 18 mars. La Russie – partie prenante avec l’Ukraine, la Turquie et l’ONU – a annoncé lundi qu’elle n’était pas opposée à ce que l’accord soit prolongé, mais seulement pour 60 jours au lieu des 120 prévus par le texte initial. Moscou se plaint amèrement qu’un accord parallèle destiné à faciliter ses exportations d’engrais soit bien moins fructueux et accuse les alliés de l’Ukraine de faire blocage. Dès lundi, Kiev avait critiqué l’annonce que les Russes présentent comme un geste de bonne volonté, soulignant que la proposition « contredit » le document signé par la Turquie et l’ONU. L’Ukraine juge que la balle est dans le camp des Nations unies et d’Ankara en tant que « garantes de l’initiative ».

L’avenir de l’accord sur l’exportation des céréales ukrainiennes – qui a permis d’atténuer une crise alimentaire mondiale – reste incertain et l’ONU tentait mardi de tout faire pour qu’il se poursuive au-delà de la date butoir du 18 mars. La Russie – partie prenante avec l’Ukraine, la Turquie et l’ONU – a annoncé lundi qu’elle n’était pas opposée à ce que...

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