Des ouvriers se préparent à installer les rayons d’une éolienne qu’ils ont réparée pour Bassem el-Khoury (d.) à Andqit, dans le mohafazat du Akkar. L’éolienne a été légèrement endommagée ce mois-ci par une tempête hivernale. Photo João Sousa
En cette fin de matinée de février, des ouvriers emmitouflés dans leurs manteaux se rassemblent sur le toit de Bassem el-Khoury, 53 ans. La scène se passe dans le village de montagne isolé de Andqit, dans la région du Akkar, au nord du Liban. La...
En cette fin de matinée de février, des ouvriers emmitouflés dans leurs manteaux se rassemblent sur le toit de Bassem el-Khoury, 53 ans. La scène se passe dans le village de montagne isolé de Andqit, dans la région du Akkar, au nord du Liban. La...
commentaires (2)
Je ne suis pas convaincu que les panneaux solaires ou les 559 éoliennes chinoises sont une bonne stratégie. Je pense que si on dit "l'état est absent" que les gens du Liban Nord (Akkar, Tripoli, Koura) doivent regarder un peu leur propre système politique en sachant qu'il s'agit déjà de 3 régions très différents mais à très petite distance , et ils feront mieux d'organiser un peu leur système de distribution d'électricité et la maintenance du réseau.
Stes David
10 h 45, le 22 février 2023