
Élie Achkar. Photo DR
Au Liban, avoir un job étudiant est devenu une nécessité pour de nombreux jeunes. Campus est parti à leur rencontre.
OLJ / Par Carole AWIT, le 09 février 2023 à 00h00
Élie Achkar. Photo DR
Comme l'ont souligné les commentateurs précédents, l'une de ces bizarreries libanaises qui laisse pantois, mais éclaire en partie sur le train de vie factice du pays depuis des décennies...je suggère un article documenté sur les "traumatismes" causés par le fait de devoir se passer de personnel de maison pour beaucoup de foyers, depuis 2/3 ans.
Le Liban est-il à ce point tellement à côté de la plaque ? En Europe, aux Etats-Unis et beaucoup d'autres pays, le travail étudiant est monnaie courante. Mais il semble qu'au Liban c'est 3ayb (?!?!).
BOF . DE NOTRE TEMPS RARE ÉTAIENT CEUX QUI NE TRAVAILLENT PAS . ON ALLAIT A LA FAC A PIED. LA VOITURE ÉTAIT NOTRE FUTURE ESPOIR ! GONFLER SES LÈVRES ET SA POITRINE : INCONNUE , TOUJOURS NATUREL . LE SKI : MATÉRIELS LOUE, EN JEANS, 1 OU 2 FOIS PAR SAISON , TRANSPORT PAR BUS OU SERVICE . BOITE DE NUIT : RAREMENT. LA MER : SAINT BALESH…ET NOUS ÉTIONS HEUREUX ET TOUJOURS DE BONNE HUMEUR ...
Il n'y a là rien d'extraordinaire. En France au temps où je faisais mes études, c'était quasiment la règle.
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Comme l'ont souligné les commentateurs précédents, l'une de ces bizarreries libanaises qui laisse pantois, mais éclaire en partie sur le train de vie factice du pays depuis des décennies...je suggère un article documenté sur les "traumatismes" causés par le fait de devoir se passer de personnel de maison pour beaucoup de foyers, depuis 2/3 ans.
IBN KHALDOUN
15 h 51, le 10 février 2023