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Nos Lecteurs ont la Parole

La souveraineté d’abord (al-siyada awalan)

Le Liban est un État occupé et assiégé, le peuple meurtri, annihilé et broyé avec une stratégie criminelle de destruction des institutions, de la Constitution et de la dignité du citoyen.

Ayant vécu la majeure partie de ma vie en expat, membre de la diaspora et de la société civile, je me dois de porter haut les souffrances du peuple, dans tous les pays de la diaspora et du monde libre. Ce cri doit atteindre les gouvernements du monde, les Nations unies, l’Union européenne, la Ligue arabe et surtout la France (pays des droits de l’homme). Nous devons protéger l’identité et la souveraineté du Liban ; un État de droit.

Je suis convaincu que la diaspora et la société civile seront la base pour la reconstruction du Liban et la récupération de la souveraineté assiégée. Ensemble, nous garantirons la gouvernabilité de l’État souverain.

Le Liban, un pays de paix et de convivialité, ne doit pas être instrumentalisé par des intérêts étrangers. Il ne doit pas être un foyer du fanatisme. L’État libanais souverain protégera le Liban et le monde de l’extension et de l’exportation du terrorisme. Le Liban est le dernier rempart de protection de l’Europe.

Je ne veux pas palabrer sur le passé et la politique politicarde ni sur le présent avec la politique de compromissions. On doit apprendre des erreurs du passé et surtout du présent. J’appelle les femmes et les hommes libres à reconstruire ensemble le Liban de demain-État souverain.

Naoum ABI-RACHED

Président fondateur de la Diaspora

Libanaise Overseas (DLO)

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Le Liban est un État occupé et assiégé, le peuple meurtri, annihilé et broyé avec une stratégie criminelle de destruction des institutions, de la Constitution et de la dignité du citoyen. Ayant vécu la majeure partie de ma vie en expat, membre de la diaspora et de la société civile, je me dois de porter haut les souffrances du peuple, dans tous les pays de la diaspora et du monde...

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