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Moyen-Orient - NUCLÉAIRE

Téhéran sollicite Interpol pour l’explosion à Natanz

Les autorités iraniennes ont sollicité l’aide d’Interpol dans leur traque du principal suspect concernant l’explosion du 11 avril au complexe nucléaire de Natanz, imputée à Israël, a rapporté hier le quotidien Kayhan. Samedi, la télévision d’État iranienne a publié la photo d’une personne dénommée « Réza Karimi », 43 ans, affirmant qu’il était « l’auteur de l’acte de sabotage » dans les installations nucléaires de Natanz, dans le centre du pays. Ce suspect qui a « fui » a été identifié « grâce aux efforts des (officiers) du ministère des Renseignements » de la République islamique. Les mesures nécessaires pour « son arrestation et son extradition » « sont en train d’être prises par les voies légales », a ajouté la même source, sans autres détails. Le journal ultraconservateur Kayhan a précisé hier qu’une démarche avait été « effectuée auprès de la police d’Interpol » afin de permettre l’arrestation du suspect, là encore sans autres indications.

Saisie par un État membre, l’organisation policière internationale peut émettre divers types de « notices », notamment des « notices rouges » qui sont des demandes d’arrestations en vue de l’extradition de suspects. Hier après-midi, aucune « notice rouge publique » sur ce dossier de Natanz ne figurait toutefois sur le site d’Interpol. Contacté, Interpol n’a ni confirmé ni rejeté qu’une telle demande soit déposée par la République islamique. « Interpol ne fait pas de (...) commentaires sur des cas spécifiques ou des individus, sauf dans des circonstances particulières et avec l’approbation du pays membre concerné », a expliqué l’organisation.


Les autorités iraniennes ont sollicité l’aide d’Interpol dans leur traque du principal suspect concernant l’explosion du 11 avril au complexe nucléaire de Natanz, imputée à Israël, a rapporté hier le quotidien Kayhan. Samedi, la télévision d’État iranienne a publié la photo d’une personne dénommée « Réza Karimi », 43 ans, affirmant qu’il était...

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