
La zone portuaire de Beyrouth, totalement dévastée... Photo Matthieu Karam
Une jeune femme blessée, traitée par un secouriste, sur un trottoir de Beyrouth. Le Premier ministre libanais, Hassane Diab, a dénoncé mardi une « catastrophe », assurant que les responsables devraient « rendre des comptes ». Ibrahim Amro/AFP
Devant un hôpital de Beyrouth, une vieille femme attend d’être soignée. Les principaux hôpitaux de Beyrouth semblaient être arrivés à pleine capacité mardi soir, certains d’entre eux ayant subi d’importants dégâts. Dans ces établissements, les blessés affluaient, dans un chaos total. Photo João Sousa
L’explosion a littéralement soufflé plusieurs maisons et appartements de Beyrouth. Portes arrachées, vitres soufflées... Les dégâts matériels sont colossaux. Photo João Sousa
Après l’explosion, les résidents de Beyrouth, hagards, attendant les secours. Face à l’ampleur de la catastrophe, des dizaines d’unités de secouristes ont été déployées. Ibrahim Amro/AFP
Toute la soirée, le hurlement des sirènes déchirait l’air dans la capitale. Quelques heures après la catastrophe, plusieurs pays ont proposé leur aide au Liban. Photo João Sousa
Des secouristes évacuant un blessé, dans des conditions dantesques. Les derniers bilans faisaient état de plus de 5 000 blessés et de dizaines de morts. Photo João Sousa
Une vielle bâtisse, à Achrafieh, éventrée par l’explosion. L’observatoire sismique jordanien a estimé que la violence de l’explosion était équivalente à un séisme d’une puissance de 5,4 sur l’échelle de Richter. Photo João Sousa
Dans le bâtiment d’Électricité du Liban, à la recherche de blessés, sous les décombres. « Nous sommes submergés par les appels téléphoniques », déclarait, dans l’après-midi, le président de la Croix-Rouge libanaise, Georges Kettaneh. Photo Joao Sousa
Il y a eu deux explosions. La premiere pour ammorcer la decomposition du nitrate puis la deuxieme devastratrice. Qui a amorcé la veritable reaction chimique,? Qui avait interet a creer un pareil cataclysme? Similaire explosion a eu lieu,il y a quelques années dans une usine chimique à Toulouse. Le protocole etant le meme : feu et explosion.
19 h 05, le 05 août 2020