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Nos Lecteurs ont la Parole - par Joyce FERNAINÉ SAYEGH

50 ans de reconnaissance

Depuis que j’étais jeune fille, j’avais une vocation pour les aides sociales et humanitaires qui étaient organisées par les CJC. J’envoyais des participations toujours à titre anonyme, voulant aider les cas les plus graves.

En juin 1969, durant mon temps de lecture, j’avais remarqué dans la page aide du CJC que deux jeunes frères devaient effectuer une chirurgie à cœur ouvert en Amérique, à Houston, Texas. À cette époque, mon mari était présent en Libye. J’ai emprunté de l’argent de mon père et j’ai envoyé cette somme comme contribution, à l’instar de beaucoup d’autres personnes charitables.

Un jour, durant cette même période, mon mari a souffert d’une fibrillation cardiaque et n’a pu s’en sortir que par une intervention divine, comme l’avait souligné un ami libyen suite à son retour au Liban.

Feu le Dr Georges Rbeiz, cardiologue, avait décidé que mon mari Georges devait aller immédiatement à Houston pour être opéré.

Le 13 avril 1970, il s’est dirigé vers l’hôpital même où les deux enfants mentionnés dans le CJC ont été soignés.

Georges a été sauvé grâce à une réanimation médicale et grâce à l’aide divine. Effectivement, avec Dieu rien ne se perd. Aujourd’hui, en 2019, l’événement s’est répété. Malheureusement avec un petit enfant libanais de 19 mois SSVP 2/19, et dont le cas fut cité dans L’Orient-Le Jour daté du samedi 17 août 2019.

Nous remercions tous ceux qui collaborent en silence et pratiquent la charité pour réduire la souffrance et la misère de ceux qui ont besoin d’une main amicale. Ils suivent le principe cité par saint Vincent de Paul : « Il faut organiser la charité », et ils le font bien…


Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour.

Depuis que j’étais jeune fille, j’avais une vocation pour les aides sociales et humanitaires qui étaient organisées par les CJC. J’envoyais des participations toujours à titre anonyme, voulant aider les cas les plus graves. En juin 1969, durant mon temps de lecture, j’avais remarqué dans la page aide du CJC que deux jeunes frères devaient effectuer une chirurgie à cœur ouvert en...

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