« C’est la super Planche des Belles Filles ! » s’enthousiasme le directeur du Tour de France cycliste, Christian Prudhomme, quand il évoque la montée finale, aujourd’hui, de la 6e étape, la première arrivée au sommet de l’épreuve. Les organisateurs ont ajouté un kilomètre extrêmement raide (jusqu’à 24 %) sur une voie au revêtement compacté, par rapport aux arrivées précédentes. L’ascension, classée en première catégorie, propose donc 7 km à 8,7 % de pente en moyenne, pour rejoindre la petite et unique station de la Haute-Saône. Le parcours, qui commence dans la plaine d’Alsace à Mulhouse, enchaîne six montées dans les Vosges, par le Markstein, le Grand Ballon, le Hundsruck et le vénérable Ballon d’Alsace, le premier col escaladé dans l’histoire du Tour (en 1905). Le petit col des Chevrères, sur une route étroite et pentue, précède La Planche des Belles Filles, une des découvertes de l’époque récente.
Sport - Tour de France
Aujourd’hui, la « super Planche des Belles Filles »
OLJ / le 11 juillet 2019 à 00h00
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