Dans une interview à la chaîne al-Arabiya, le chef du PSP, Walid Joumblatt, a rappelé que son parti s’était entendu avec le Hezbollah sur « la gestion du désaccord » entre eux. « Nous n’approuvons pas son intervention et celle de l’Iran en Syrie, mais nous considérons en même temps qu’il représente une force politique et militaire fondamentale au Liban », a-t-il dit, en se disant persuadé que le Hezb « réalisera un jour que seul l’État peut le protéger ».
Il a assuré en réponse à une question qu’il « ne serrera jamais la main » du président syrien Bachar el-Assad et mis en garde contre une « révolution sociale » au Liban si des acquis socio-économiques fondamentaux sont supprimés dans le cadre de la politique d’austérité.
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