Parallèlement à la tenue de la séance parlementaire, les professeurs vacataires de l’Université libanaise, en grève d’avertissement de trois jours, ont tenu un sit-in dans la matinée, place Riad el-Solh, réclamant à la Chambre la satisfaction de leurs demandes. Les enseignants réclament notamment la remise à niveau de leurs salaires en fonction du réajustement et des échelons accordés par la nouvelle grille des salaires dans l’enseignement scolaire public, ainsi qu’en fonction des traitements accordés dans les universités privées.
Par ailleurs, les enseignants du cycle secondaire public ont également manifesté dans le centre-ville, afin de faire entendre leur voix. Leur dossier, qui porte sur l’admission d’enseignants ayant réussi le concours d’entrée, est à l’ordre du jour de la séance. Ils appellent les parlementaires à voter le texte en question, affirmant que celui-ci a été « abreuvé d’examens ».
Les enseignants concernés sont au nombre de 2 000, rappelle-t-on, et ont passé avec succès des concours d’entrée en… 2008 et 2016.
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