L’ambassadeur d’Arabie saoudite à Beyrouth, Walid Boukhari, a affirmé hier que le royaume allait concrétiser son soutien au Liban, annoncé depuis Davos par son ministre des Finances, Mohammad al-Jadaan, il y a deux jours. » Nous allons faire le suivi des déclarations de notre ministre à Davos, et des mécanismes seront mis en place », a souligné M. Boukhari, lors d’un entretien avec l’ancien président libanais Amine Gemayel à Bickfaya.
Mohammad al-Jadaan a affirmé mardi que Riyad voulait soutenir le Liban « par tous les moyens », deux jours après que le Qatar, avec qui le royaume est en froid depuis juin 2017, eut déclaré son intention d’investir 500 millions de dollars dans des obligations libanaises en devises.
Ces annonces surviennent à un moment où la situation financière du pays fait l’objet de spéculations, surtout depuis la décision lundi soir de Moody’s, l’une des principales agences de notation financière américaines, de dégrader sa note souveraine (« Caa1 », avec perspective « négative »). En réaction, le ministre sortant des Finances, Ali Hassan Khalil, a affirmé mardi que la situation financière et monétaire du pays était « stable ». Des propos qu’il a réitérés hier à l’issue d’une réunion sur le sujet à Baabda.
commentaires (2)
Boukhari, a, ramasse tes billes et tes clic et tes claques et ne t'avise pas à croire que tu pourras changer notre NOUVEAU LIBAN LIBRE ET INDÉPENDANT DE TES MANIGANCES POUR LE COMPTE DE TES BOSS DE L'ÉTRANGER. Toi et tes mandataires avant de penser pouvoir revenir, tu fais la queue comme tous ceux qui respectent ce NOUVEAU LIBAN.
FRIK-A-FRAK
16 h 29, le 25 janvier 2019