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Culture

Les trois soirées à ne pas manquer

Jusqu’à dimanche, sept conteurs d’ici et d’ailleurs, dont Jihad Darwiche, se produiront dans différents lieux et tour à tour, ils offriront à voir chaque soir une représentation unique. Voici les trois soirées à ne pas manquer.

Mercredi 14 mars à la Maison de l’artiste (Hammana)

Quoi ?
Dans le beau cadre de la Maison de l’artiste de Hammana, les conteurs Jihad Darwiche et Nassim Alwane présentent un spectacle en collaboration avec le collectif Kahraba. La première partie est assurée par cinq jeunes conteurs qui ont convaincu avec succès le jury du « Souk du conte ».

Pourquoi y aller ?
Pour le déplacement, qui répond à la volonté des organisateurs de diversifier les lieux du festival afin de proposer des spectacles différents et de toucher un public varié.
Le petit plus de cette soirée ? La chanteuse Amal Kaawash accompagnée de Farah Kaddour au bouzouki et de Qamar Omri aux percussions. Plus qu’une soirée poétique, leur présence assure une soirée placée sous le signe de l’émotion (orientale). Quant au déroulé précis de la soirée, surprise. Rien n’est écrit, la spontanéité prime.

L’une des soirées entre jeudi 15, vendredi 16 ou samedi 17 mars à BEYt (Mar Mikhaël)

Quoi ?
À l’hôtel BEYt du quartier animé de Mar Mikhaël sont invités à se produire trois conteurs internationaux, la Belge Sophie Clerfayt ainsi que les Français Serge Valentin et Pascal Quéré. Chaque soir, deux d’entre eux se produiront pour une carte blanche très prometteuse.

Pourquoi y aller ?
« Orient-Occident, réciproquement » est le thème de cette 19e édition du festival dont ces trois soirées constituent l’allégorie. Et pour cause, ces trois Occidentaux venus chercher le soleil en Orient incarneront toute l’ambiguïté de l’altérité de ces deux rives qui, le temps de ces trois soirées, se réuniront en une force unique. Cette force? Certains pensent au soleil, ce soleil que l’un – l’Orient – voit se lever et l’autre – l’Occident – voit se coucher. D’autres associent cette force au conte. Cet art qui gomme les différences peut lui aussi être ce point de rencontre entre « toi » et « moi » dont ces soirées se feront, pour sûr, l’incarnation.

Dimanche 19 mars à BEYt Amir (Clemenceau)

Quoi ?
C’est à BEYt Amir qu’aura lieu le fameux « Concours des menteurs », qui clôturera cette édition du Festival du conte. Lors de cette soirée, les sept conteurs se réuniront pour offrir un spectacle singulier à l’unisson avec le public.

Pourquoi y aller ?
Graal du festival, cette soirée est maintenant devenue une tradition. Lors de ce « Concours des menteurs », les sept conteurs seront ensemble sur scène pour offrir une pièce de théâtre improvisée. Ce spectacle promet d’être unique – comme tous ceux des précédentes éditions –, grâce au public convié à participer, à interagir, à incarner et à conter à son tour.
Pour la première fois cette année, les jeunes conteurs feront aussi partie de cette soirée de clôture pour se confronter à l’incroyable expérience de la parole publique. Même si Paul Mattar confie que ce festival n’a aucune prétention et que « si en sortant de cette soirée, les gens ont le sentiment de ne pas avoir perdu leur temps, alors on a tout gagné », ce qui est certain, c’est que par delà les mots et la parole libérée, cet événement promet d’être à hauteur des âmes que cette soirée réunira. Grand.

Jusqu’à dimanche, sept conteurs d’ici et d’ailleurs, dont Jihad Darwiche, se produiront dans différents lieux et tour à tour, ils offriront à voir chaque soir une représentation unique. Voici les trois soirées à ne pas manquer.Mercredi 14 mars à la Maison de l’artiste (Hammana)Quoi ?Dans le beau cadre de la Maison de l’artiste de Hammana, les conteurs Jihad Darwiche et Nassim...

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