« L’imagination est plus importante que le savoir. » La phrase est signée Albert Einstein. Nombreux sont les enfants qui n’ont jamais aimé l’école et qui se sont avérés être brillants dans la vie. Tania el-Khoury en fait partie !
Née en 1982 dans la ville côtière de Jounieh, elle est la cadette de trois enfants d’une famille très conservatrice et profondément attachée aux traditions. Son père est militaire et sa mère professeure de littérature arabe, tous deux originaires d’un petit village du Akkar, où toute la famille passe ses étés à l’ombre des oliviers qu’ils brossent. Manier le peigne ou la gaule pour la récolte des olives ou faire du fromage traditionnel (le chanklish) ou de la mélasse accouchaient de grands festins autour d’une table où l’on ne servait que de l’amour.
Tania el-Khoury est le deuxième « soldat », après Roy Dib, de la troisième édition de Génération Orient, un vaste projet de résistance culturelle lancé, le 17 mai 2016, par « L'Orient-Le Jour » en partenariat avec la Société générale de banque au Liban (SGBL). Génération Orient est uniquement axé sur deux postulats incontournables et indiscutables : la jeunesse et l'art. Parce que plus que tous les autres, ces deux moteurs peuvent assurer la renaissance et la sérénité du Liban.
Retrouvez ici la première édition de Génération Orient
et
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FELICITATIONS A LA DEMOISELLE !
LA LIBRE EXPRESSION
16 h 35, le 17 février 2018