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Culture - Festival

À Baalbeck, Kidjo mobilise les icônes de la musique noire

Press photo agency

Sur la scène du Festival international de Baalbeck, la chanteuse béninoise Angelique Kidjo, l'une des grandes divas de la musique africaine, a fait voyager son public qui s'est surpris à s'émouvoir, à dodeliner et même à danser sur les rythmes endiablés venus d'Afrique, des États-Unis et des Caraïbes.

Pour son tour de chant, l'artiste a convoqué trois icônes de la musique noire. Pour l'Afrique, « Mama Afrika » Myriam Makeba, la papesse de la musique africaine, dont elle est la digne héritière, et ses tubes Pata Pata, Malaïkaet Saduva. Pour les États-Unis, Nina Simone, la prêtresse du jazz, avec Sealion, My Baby Just Cares for meet Feeling Good. Pour les Caraïbes, la reine de la salsa et de la rumba cubaines, Celia Cruz, avec les titres Quimbara, Cucalaet Toro Mata.

Un voyage admirablement porté par une Angelique Kidjo, femme de cœur éclatante de vitalité, jouant de complicité avec les spectateurs, notamment lorsqu'elle a interprété son tube Afirikaet la chanson de Feyrouz, Kanou Ya Habibi.

Sur la scène du Festival international de Baalbeck, la chanteuse béninoise Angelique Kidjo, l'une des grandes divas de la musique africaine, a fait voyager son public qui s'est surpris à s'émouvoir, à dodeliner et même à danser sur les rythmes endiablés venus d'Afrique, des États-Unis et des Caraïbes.
Pour son tour de chant, l'artiste a convoqué trois icônes de la musique...

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