Brèves

Baabda
Aoun préside le Conseil supérieur de la défense

Le chef de l'État Michel Aoun a rendu hommage, hier, aux membres des services de sécurité qui « continuent d'entreprendre des opérations militaires préventives dans le but de faire face au terrorisme et de préserver la stabilité du Liban, alors que le monde entier est devenu la proie de groupes terroristes ».
M. Aoun a tenu ces propos alors qu'il présidait une réunion du Conseil supérieur de la défense, au palais de Baabda, à laquelle ont notamment pris part le Premier ministre Saad Hariri, les ministres des Finances Ali Hassan Khalil, de la Défense Yaacoub Sarraf, de l'Intérieur Nouhad Machnouk, des Affaires étrangères Gebran Bassil, de la Justice Salim Jreissati, des Transports publics Youssef Fenianos et du Tourisme Avédis Guidanian.
Étaient également présents le procureur général Samir Hammoud, le commissaire du gouvernement près le Tribunal militaire Sakr Sakr, le commandant en chef de l'armée Joseph Aoun, le directeur général de la Sûreté générale Abbas Ibrahim, le directeur général des FSI Imad Osman, le directeur général de la Sûreté de l'État Antoine Saliba, le président du Conseil supérieur des douanes Assaad Toufayli, le directeur général des douanes Badri Daher, le directeur des services de renseignements de l'armée Antoine Mansour et le chef de service des renseignements des FSI Khaled Hammoud.
Lors de la réunion, le président de la République a passé en revue les décisions déjà prises et les moyens de mieux les mettre en pratique ainsi que les besoins des services de sécurité afin qu'ils puissent remplir leur tâche.
Par ailleurs, le chef de l'État s'est entretenu avec une délégation composée des présidents des conseils municipaux du Akkar. Le développement rural était au cœur de la discussion. M. Aoun a également reçu une délégation de Microsoft Moyen-Orient.

Social
La ligue des enseignants du Conservatoire appelle l'État à les titulariser

La ligue des enseignants du Conservatoire national a publié un communiqué, hier, soulignant qu'elle œuvrait en vain de titulariser depuis plus de quatre ans de nombreux enseignants qui sont payés à l'heure et ne perçoivent pas de salaire durant les vacances ou quand ils tombent malades.
Les promesses du président du Conservatoire Walid Moussallem, de l'ancien ministre de la Culture Raymond Arayji, de son successeur Ghattas Khoury et du ministre des Finances Ali Hassan Khalil sont restées lettre morte.