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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Sur le devant de la scène, les médecins, Romero Britto et un palais andalou pour rêver...

En live, Romero Britto peint les Heartbeat. Photo Pulse Production

Quand la chanson guérit
La solidarité se poursuit et la chaîne de l'espoir nous rend fiers chaque jour. Au BIEL, devant une salle comble, le concert-dîner de gala de l'association Heartbeat avec ses médecins, musiciens et volontaires a enchanté le public venu soutenir une belle action : la prise en charge médicale d'un grand nombre d'enfants atteints de maladies cardiaques. À la table d'honneur, les ministres Gebran Bassil et Salim Jreissati, le nonce apostolique Mgr Gabriele Caccia, Mouna Hraoui, et la présidente de la Fondation al-Walid ben Talal, Leila Solh Hamadé, partenaire essentiel qui offre cette année l'équipement du centre cardiaque pour enfants, baptisé espace Philippe el-Hage. Eh bien Bravo ! Parmi les présents également, Lena et Toni Fadel, Hoda et Arslan Sinno, Linda et Ziad Baroud, Claude et Samir Abillama, Rose Choueiry et sa fille Lena Nahas, Nadim Kassar, Georges Abou Jaoudé, Ziad Mounla, Joumana et Raphaël Debbané, Tony et Elham Salamé, Hassana Daouk et beaucoup d'autres. Ils étaient un millier. Le concert a été suivi d'une vente aux enchères d'œuvres d'art contemporain, dont celle de l'artiste brésilien, de passage à Beyrouth, Romero Britto qui a peint des « cœurs battants » en live, devant le public. Sa toile a été vendue 25 000 dollars. Dans le lot également, une photographie de Ziad Antar, une sculpture de Nadim Karam, deux œuvres de Mona Hatoum, deux bijoux de Sylvie Saliba, ainsi que trois Range Rover Evoque parties à 275 000 dollars.
Signalons que la peinture et la sculpture de Romero Britto font l'objet de nombreuses collections publiques et privées (Eileen, Guggenheim, Bill Clinton, George Bush), et sont dans les musées de MoLA, Los Angeles et Naples.

Beyrouth, ville séductrice !
Il aurait certainement pu choisir une autre ville. Mais c'est à Beyrouth que le richissime homme d'affaires qatari d'origine palestinienne Hussam Abu Issa a choisi de marier sa fille Aya avec Ahmad Mohammad Zbib. La cérémonie grandiose aux frais exorbitants (on parle de deux à trois millions de dollars) a redonné du souffle à notre économie déliquescente.
En effet, deux cent quarante invités, venus des pays arabes, ont été logés dans les hôtels, et une flotte de voitures mise à leur disposition. Le BIEL transformé en un palais d'Andalousie foisonnait de fleurs et de saveurs...Cadre idéal pour le défilé des dames, parées de leurs diamants, et de la mariée, habillée par Élie Saab ; la maman et les deux sœurs par Hassan Idriss. La soirée, animée par Jihad Akl et Ragheb Alameh qui ont créé une ambiance follement joyeuse, a rassemblé 800 convives parmi lesquels la mère de la reine Rania de Jordanie, Elham Yassine, Bassima et Labib Abou Zaher, Marianne et Henri Hélou, Malak et Rami Nemer, Zeina et Jawad Adra, Omar Jarrar, Maha Kaddoura, Wafa Saab, Nazih Abdel Kader, Suhair et Moustafa Miqdadi, Leila et Moustafa Bsat, Zeina et Imad el-Khalil, Dania Sinno, Mayane et José Karam, Harry Nadjarian, Carole et Nabil Bustros, Alia Debs, Salma et Amir Soubra, Ghada et Sami Faddoul, May et Fouad Makhzoumi, Hind et Habib Debs, venus droit de Washington.

Romero, roi des enfants
Décoration florale et centres de table avec bonbons, sucres d'orge et sabots multicolores. Un clin d'œil à la piste de danse rehaussée de toutes les palettes et prise d'assaut par des aficionados de la « zumba dance ». Très sympa, drôle et folichon. C'était au dîner caritatif de l'association Teach a Child organisé à D Beirut où Zeina el-Khalil, Nayla Bassil, Maya es-Said, Lina Assaf, Christine Daher, Dalia Kalo et d'autres membres de l'association recevaient leurs invités, parmi lesquels les ambassadeurs de Grande-Bretagne Hugo Shorter et Laura, d'Italie Massimo Marotti et Zina, d'Allemagne Martin Hutt et Anahid, ainsi que l'ambassadeur d'Égypte Nazih Najjari. Tous attendris par le film qui relate l'histoire d'un adolescent pris en charge par l'association, dont la mission est d'assurer à chaque enfant libanais l'accès et le droit à l'éducation. Animée par le présentateur de talk show, le très populaire Nishan, la soirée a réuni Minou et Mohammad Machnouk, Linda et Ziad Baroud, Suzy et Mohammad Jawad Khalifeh, Alain Aoun, Joumana et Fady Yarak, May et Fouad Makhzoumi, May Chidiac, Paula Yaacoubian, Inayat et Abdel Ghani Hammour, Talal et Maha Shaër, Maxime Chaya, sans oublier Maguy Farah qui a prédit l'horoscope à tous ses voisins de table.
L'association Teach a Child a également organisé une rencontre avec Romero Britto, pour les élèves qu'elle soutient à l'école publique de Geïtaoui. À l'instar de son œuvre Pop'Art, le peintre et sculpteur brésilien, né dans les quartiers pauvres de Récif, a débarqué en veste flamboyante, accompagné de Thomas Abraham (de la Fondation Abraham). Il a raconté aux enfants son histoire, avant de leur demander de prendre le pinceau et de laisser libre cours à leur imagination. Résultat ? Des toiles éclatantes d'optimisme et d'espoir.

Généreux... à fond les caisses
Pour un geste concret de générosité, 80 personnes, dont une majorité de Libanais d'origine palestinienne, ont répondu présent au dîner donné par la présidente de l'association UPIL, Malak el-Nemr, chez Hussein Hadid Kitchen. L'association vient en aide aux enfants des camps palestiniens qui vivent dans des conditions difficiles souvent dramatiques. Dans l'assistance, Mouna Hraoui, l'ambassadeur des Pays-Bas, Rolla et Yousef Kanaan, Hoda et Arslan Sinno, Rolla et Wagih Bizri, Tonia et Zafer Chaoui, Élias Khoury, Mona Bawarchi, Adalat Naccache, Maha Chakachir, Omar Chamma, Nidal el-Achkar, Maha Kaddoura, Fawzi Farah. Tout le monde a sorti son chéquier, et des sommes rondelettes ont été versées pour acquérir des œuvres vendues aux enchères, dont une toile de Joumana Bayazid et une sculpture de Abdel Rahman Katanani.

Le sucre, une jouissance !
Toute la bourgeoisie sidonienne était présente à l'inauguration de Tawlet, pour ne citer que la députée Bahia Hariri, Akram Zaatari, Mona Zaatari, Lina Suidan et la famille Bizri. L'ancien Premier ministre Fouad Siniora, l'évêque de Saïda et le mufti ont fait une apparition. Pour bénir le lieu ? Tawlet, ici développé en partenariat avec la Fondation Hariri, est le cinquième de la chaîne créée par Kamal Mouzawak et l'incarnation même du restaurant-café coquet. Décoré avec goût de bois blanc, il est logé dans une vieille bâtisse face au vieux port de Saïda. Dans l'assiette, la saveur authentique des plats traditionnels de la ville, comme la moufatakka, le riz au pourpier, la kebbé arnabieh aux agrumes, ou encore la sayadieh au curcuma. Et pour démultiplier le nombre des calories, des douceurs à faire tomber : la Azha et la maddé joz d'al-Habach. Jacquot Ayoub, Sarah Trad, Zeina Badran et Sarah Makarem en ont consommé un kilo ! Présents également ce soir-là, Nathalie Khoury, Karen Chekerjian, Nada Debs, Andrée Sfeir, Youssef Tohmé, Maria Ossaïmi, Rabih Kayrouz et tout un bataillon d'amis venus de Beyrouth.

Saint George's night
Avant-hier dimanche, le Saint-Georges, illuminé de mille feux, a carburé au rythme festif de Vanessa et du pianiste Raja Nawal. Fadi Khoury a célébré le saint patron de la baie de Beyrouth, en organisant un dîner autour de la piscine. Pour l'occasion, l'établissement s'est paré d'hortensias bleus et blancs, et un immense écran a fait défiler les photos de l'époque glorieuse de cet hôtel mythique, qui a accueilli des stars hollywoodiennes, des têtes couronnées, des célébrités et la crème de la société beyrouthine, provoquant un fort sentiment de nostalgie chez les invités. Parmi lesquels Georges Corm, le chargé de l'ambassade de Malte François Abi Saab et Gaby, Raya Daouk, Zafer et Tonia Chaoui, Raïf et Nada Kassem, Émile et Claude Kanaan, Charles et Maryline Ghostine, Hyam et Georgine Mallat, Fouad et Noha Hatem. Le Saint-Georges, qui incarnait le glamour du Liban d'avant-guerre, n'est plus qu'une ruine au centre d'une bataille acharnée entre ses propriétaires et de puissants promoteurs immobiliers. Mais un immense panneau annonce pour 2019 le début de sa restauration. Disons Inchallah !

ditavonbliss@hotmail.com

Quand la chanson guéritLa solidarité se poursuit et la chaîne de l'espoir nous rend fiers chaque jour. Au BIEL, devant une salle comble, le concert-dîner de gala de l'association Heartbeat avec ses médecins, musiciens et volontaires a enchanté le public venu soutenir une belle action : la prise en charge médicale d'un grand nombre d'enfants atteints de maladies cardiaques. À la table...

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