Il aurait pu être réalisateur, metteur en scène d'histoires qu'il aurait lui-même imaginées et qu'il raconterait avec ce bagout qui lui est propre : mélange d'autodérision, de culture et de goût – celui des autres notamment – qui le caractérise. Sauf que les « accidents heureux » qui ont ponctué, jusque-là, son parcours ont porté le talentueux monsieur Dibeh vers une tout autre voie. Celle du design dans lequel il a, néanmoins, réussi à mettre toute sa verve et sa faconde.
Marc Dibeh est le cinquième « soldat », après Mir-Jean Bou Chaaya, Rayya Morcos, Ali Chahrour et Hala Ezzedine du vaste projet de résistance culturelle lancé, le 17 mai, par « L'Orient-Le Jour » en partenariat avec la Société générale de banque au Liban (SGBL). Un projet intitulé Génération Orient et uniquement axé sur deux postulats incontournables et indiscutables : la jeunesse et l'art. Parce que plus que tous les autres, ces deux moteurs peuvent assurer la renaissance et la sérénité du Liban.
commentaires (1)
Bravo pour Marc Dibeh au nom de la résistance culturelle .
Sabbagha Antoine
17 h 41, le 09 septembre 2016