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Lifestyle - les potins

Quelqu’un m’a dit...

Feu d’artifice autour de Nehmé Élias Khawli et Sharon Jean Tamer.

Pas comme Cendrillon...

Mille feux et mille cascades florales ont embrasé The Legend, niché dans la vallée historique de Nahr el-Kalb, où même les aqueducs romains ont été mis en lumière comme des stars. Mais les vedettes ce soir-là étaient le jeune homme d'affaires et consul du Soudan, Nehmé Élias Khawli, et la belle Sharon Jean Tamer dont la robe, richement cousue dans les ateliers du créateur Zuhair Murad, en a mis plein les yeux à un millier d'invités. La folle ambiance ne s'est pas fait attendre : zaffé, darbouka, tambours et bendir, et une dabké traditionnelle, à laquelle se sont joints en force les amis, ont accompagné l'entrée des mariés. Ensuite le style pop rock particulier de la française Cynthia Brown a chauffé la scène avant que la soirée ne batte son plein avec le chanteur Nader Atat, accueilli par une foule en délire. Le bouillonnant DJ Mitri n'était pas en reste. Et c'est bien là l'essentiel. Suivant l'exemple des sœurs de la mariée – Chrystelle, Joan en Élie Saab et Simone en Zuhair Murad – jeunes et moins jeunes se sont débarrassés de leurs sempiternels talons aiguilles pour enfiler des tongs (prévus par les organisateurs) et prendre d'assaut la piste de danse balayée par des mandrilloptères. Quelque chose nous dit que le lendemain, ils ont mis leurs pieds au repos et se sont aspergés de Sharon et Nehmé (100 ml) qui leur a été offert : une fragrance concoctée spécialement pour l'occasion par le suisse Firmenich, numéro deux mondial des parfums et arômes.
Les parents des mariés, Élias et Yousra Khawli, Jean et Joumana Tamer (en Zuhair Murad) étaient aux petits soins de leurs invités, parmi lesquels les députés Atef Majdalani et Naji Gharios et leurs épouses, Mgr Cyrille Bustros, évêque grec-melkite de Beyrouth, et l'archevêque de Tripoli, Mgr Georges Daher, Walid et Roula Daouk, Maha Farid Makari, Rolla Ghazi Zeaïter, Rolla et Wajih Bizri, Marianne Vicenti, Amid Baroudi, Maha Chalabi, Mira el-Khalil, Chadia et Maher Abou Ghazalé, Sarkis Sarkis, Olguina Élie Ferzli, les ambassadeurs de Suisse, François Barras, et du Maroc, Ali Oumlil, ainsi que Paula Yacoubian, Raymond, Marwan et Bachir Sarkis, sans oublier Nathalie Rahal à la tête de la société Amareyn, qui a largement contribué au succès de la soirée, ainsi que l'équipe de Faqra Catering qui ont mis les petits plats dans les grands.

Un œil sur Reyfoun

Ils étaient tous chez Gloria et Walid el-Khazen à Reyfoun : le nonce apostolique, Mgr Gabriele Caccia, le chargé d'affaires de l'ambassade de l'Ordre de Malte, François Abi Saab (et Gaby), May et Raymond Audi, cheikh Fouad el-Khazen, Aline et Khalil Fattal, Marlène et Pierre Chidiac, Joumana et Rafy Debbané, Jean-Louis Mainguy, Fayza el-Khazen, Raymonde et Abdo Ayoub et d'autres parents et amis, réunis pour la remise de la Grand-Croix Pro Merito Melitensi à cheikh Walid. Le chevalier était ému jusqu'au fond de ses entrailles. Non seulement parce que la Grand-Croix est la plus haute distinction de l'Ordre souverain de Malte, mais le discours très élogieux du président de l'association de l'Ordre, Marwan Sehnaoui, était un moment fort pour le récipiendaire. Une belle et émouvante cérémonie qui a été suivie d'un somptueux dîner dans le magnifique jardin où se côtoient dans une merveilleuse harmonie des arbres gigantesques et les rochers sculptés de la région. Devant cette œuvre conçue par la grande architecte-paysagiste Renée el-Khazen, les invités n'ont pas retenu les cris d'admiration. Parmi eux, Marie-Christine Fattal, Dany et Jean-Marie Megarbané, Paul Saghbini, Lina et Badih Hobeiche, Arlette Jabre, Patrick Jabre, Lélia et Nabil Mallat...

Le rocher de Moustapha

Le consul honoraire du Liban à Monaco, Moustapha el-Solh, a intégré la grande famille de la Légion d'honneur. L'insigne de chevalier de la Légion d'honneur lui a été remis par Hadelin de La Tour du Pin, ambassadeur de France auprès de la principauté, au cours d'une cérémonie au Yacht Club de Monaco en présence du prince Albert II, de son ministre d'État et chef de cabinet Serge Telle, de personnalités monégasques et françaises, et d'un nombre d'amis et de parents venus de Beyrouth, notamment son frère Mohammad el-Solh (et Cécile), ses beaux-parents May et Nagib Mikati, ainsi que Nada et Taha Mikati, Hanifé et Khaled Salam, Wissam et Ziyad Ariss, Maya et Marek Sinno, Anas Mikati, Walid Abou el-Souhoud, pour ne citer que quelques-uns. Le ministre Gebran Bassil, qui se trouvait à Cannes, s'est joint à la cérémonie. Présents également, la princesse Ghida ben Talal de Jordanie, cheikh Béchara el-Khoury, Gaby Tarazi, Jean-François Dieterich, maire de la presqu'île des milliardaires, Saint-Jean-Cap Ferrat.
PDG de la marque pionnière du sport chic Façonnable, Moustapha el-Solh évolue dans le secteur des affaires au sein du Groupe M1, fondé par les frères Taha et Nagib Mikati. Un holding d'investissement, qui détient des participations dans des sociétés de télécoms, du commerce de détail, de l'énergie et de l'immobilier. Les traditionnels discours ont mis l'accent sur ses mérites économiques au service de la France et du Liban. Entouré de son épouse Souad (Soussou pour les intimes) et de ses filles Nada, Zein et Zayane, toutes les quatre rayonnantes (l'aînée Farida était retenue à New York), Moustapha el-Solh a offert à l'issue de la cérémonie un somptueux dîner au Yacht Club.

Piano au centre-ville

Les Libanais ne lésinent pas sur les moyens pour afficher leur faible pour les stars architectes. Il faut dire que les notes salées ne les effrayent pas. Après Steven Hall, Rafael Moreno, Kevin Dash, Zaha Hadid, Norman Foster, Jean Nouvel, Herzog & de Meuron qui se sont emparés du centre-ville, c'est le grand Renzo Piano qui débarque. Il réalisera le siège de la banque SGBL ainsi que le musée de la cité de Beyrouth, face à an-Nahar. Affaire à suivre...

ditavonbliss@hotmail.com

 

Pas comme Cendrillon...
Mille feux et mille cascades florales ont embrasé The Legend, niché dans la vallée historique de Nahr el-Kalb, où même les aqueducs romains ont été mis en lumière comme des stars. Mais les vedettes ce soir-là étaient le jeune homme d'affaires et consul du Soudan, Nehmé Élias Khawli, et la belle Sharon Jean Tamer dont la robe, richement cousue dans les ateliers...
commentaires (2)

Il y a de magnifiques architectes libanais. Pourquoi courir derrière les etrangers,si grande pointure soient- ils.

Massabki Alice

17 h 31, le 02 août 2016

Tous les commentaires

Commentaires (2)

  • Il y a de magnifiques architectes libanais. Pourquoi courir derrière les etrangers,si grande pointure soient- ils.

    Massabki Alice

    17 h 31, le 02 août 2016

  • j'espere que ces mariages dureront un peu, au moins pour amortir les depenses engagees

    George Khoury

    07 h 50, le 02 août 2016

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