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Culture - En librairie

Du premier grade à l’armée aux pinceaux de peinture

Le général Mahmoud Tay Abou-Dargham, autoportrait.

Une carrière bien remplie, les plus hautes charges au sein de l'armée, de multiples distinctions, un goût accentué pour le sport, le général Mahmoud Tay Abou-Dargham n'en a pas moins farouchement gardé un jardin secret. Et c'est la peinture. Aujourd'hui, le voile est levé avec un opus qui lui est dédié. Dans un livre joliment édité et à la couverture cartonnée (65 pages), une sélection d'œuvres d'art. Les siennes. « Car l'art, disait-il, bien qu'il soit un cri de désespoir, demeure un vaste espace de liberté. » Dans cet espace sans frontières l'on retrouve les diverses facettes d'une inspiration alliant huile, dessins et aquarelles. « Les liens chaleureux qu'il avait tissés avec la culture, les livres et la peinture lui procuraient sans doute une certaine mesure d'espoir, si réduite soit-elle, en son pays », écrivent ses enfants Roula Abou-Dargham el-Khali et Nabil Mahmoud Tay Abou-Dargham dans la préface.
Des portraits (saint Charbel) aux villes (Bagdad), en passant par des paysages touchés par la grâce d'une imagination donnant aux lignes des contours vaporeux, se dresse la sensibilité d'un homme qui, par-delà l'uniforme militaire, portait un grand intérêt au monde de l'esprit et de la créativité.

Une carrière bien remplie, les plus hautes charges au sein de l'armée, de multiples distinctions, un goût accentué pour le sport, le général Mahmoud Tay Abou-Dargham n'en a pas moins farouchement gardé un jardin secret. Et c'est la peinture. Aujourd'hui, le voile est levé avec un opus qui lui est dédié. Dans un livre joliment édité et à la couverture cartonnée (65 pages),...

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