Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a demandé au Conseil des ministres arabes des Affaires étrangères de ne pas qualifier de terroriste le Hezbollah pour s'être ingéré dans les affaires du Bahreïn, mais son homologue bahreïni s'est opposé à cette demande, ce à quoi M. Bassil a répliqué en annonçant la position officielle du Liban, désapprouvant ce point précis. Le chef de la diplomatie a motivé cette prise de position en affirmant qu'il est impossible de condamner le Hezbollah, alors que « le parti est représenté au gouvernement et au Parlement ». Il a de plus évoqué la nécessité de l'unité nationale et du rapprochement tant au plan local que régional « pour épargner au Liban et à la région un glissement vers des guerres confessionnelles ». Enfin, M. Bassil a révélé que plus d'un ministre arabe des Affaires étrangères lui a fait observer que le Liban est le seul à s'être opposé au communiqué du Conseil, mais qu'il a répondu avoir adopté cette position parce que le Liban « se distingue par une spécificité qui lui permet de rassembler et d'unifier au lieu de diviser ».
Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a demandé au Conseil des ministres arabes des Affaires étrangères de ne pas qualifier de terroriste le Hezbollah pour s'être ingéré dans les affaires du Bahreïn, mais son homologue bahreïni s'est opposé à cette demande, ce à quoi M. Bassil a répliqué en annonçant la position officielle du Liban, désapprouvant ce point précis. Le chef de la diplomatie a motivé cette prise de position en affirmant qu'il est impossible de condamner le Hezbollah, alors que « le parti est représenté au gouvernement et au Parlement ». Il a de plus évoqué la nécessité de l'unité nationale et du rapprochement tant au plan local que régional « pour épargner au Liban et à la région un glissement vers des guerres confessionnelles ». Enfin, M. Bassil a révélé que plus d'un...
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
"Le béssîîîl a répondu avoir adopté cette position parce que le Liban se distingue par une spécificité qui lui permet de rassembler et d'unifier au lieu de diviser." ! Et sans sourciller !
Où ça ? Pas au sein de ce "gouvernement" quand même ?
Franchement "culotté" !
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
"Le béssîîîl a répondu avoir adopté cette position parce que le Liban se distingue par une spécificité qui lui permet de rassembler et d'unifier au lieu de diviser." ! Et sans sourciller !
Où ça ? Pas au sein de ce "gouvernement" quand même ?
Franchement "culotté" !
"Le béssîîîl a répondu avoir adopté cette position parce que le Liban se distingue par une spécificité qui lui permet de rassembler et d'unifier au lieu de diviser." ! Et sans sourciller ! Où ça ? Pas au sein de ce "gouvernement" quand même ? Franchement "culotté" !
08 h 08, le 12 janvier 2016