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Liban - Les archives racontent...

Le cheikh Sabah Salem el-Sabbah, arrivé hier soir, repartira lundi Front oriental et transit à l’ordre du jour des entretiens Frangié-Émir du Koweït

Dans « L'Orient-Le Jour » du 22 septembre 1973

Le président Frangié recevant son hôte princier.

L'émir du Koweït, le cheikh Sabah Salem al-Sabbah, est arrivé hier soir à Beyrouth, en visite officielle sur l'invitation du président Frangié. Un accueil officiel et populaire chaleureux lui a été réservé.
Le chef de l'État, le président du Conseil, le vice-président de la Chambre (en l'absence de M. Kamel el-Assaad, à l'étranger), les ministres, les députés, le commandant en chef de l'armée, les membres du corps diplomatique et une foule nombreuse se trouvaient à l'aéroport pour recevoir l'émir.
Au salon d'honneur de l'AIB, l'émir du Koweït a fait la déclaration suivante : « Le Liban est ma seconde patrie. Je dis cette vérité non pas par courtoisie, mais parce que c'est là mon véritable sentiment. Je n'ai pu cet été venir au Liban pour des raisons en rapport avec mes responsabilités au Koweït. Mais S.E. le président Frangié, mon frère, a saisi l'occasion de mon déplacement pour assister à la conférence des pays non alignés, afin de m'inviter. Je le remercie de me donner ainsi la possibilité de revenir dans ma seconde patrie. Je remercie également le chef de l'État, le gouvernement et le peuple libanais pour l'accueil qu'ils m'ont réservé et je leur souhaite succès et prospérité. »

L'émir du Koweït, le cheikh Sabah Salem al-Sabbah, est arrivé hier soir à Beyrouth, en visite officielle sur l'invitation du président Frangié. Un accueil officiel et populaire chaleureux lui a été réservé.Le chef de l'État, le président du Conseil, le vice-président de la Chambre (en l'absence de M. Kamel el-Assaad, à l'étranger), les ministres, les députés, le commandant en...
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Il a fallu à peine une trentaine d'années d'indigène "indépendance", pour se retrouver avec un type pareil à la présidence !

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

07 h 34, le 22 septembre 2015

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Commentaires (1)

  • Il a fallu à peine une trentaine d'années d'indigène "indépendance", pour se retrouver avec un type pareil à la présidence !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    07 h 34, le 22 septembre 2015

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