Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a affirmé hier, à l'issue de son entretien avec le ministre de la Jeunesse et des Sports Abdel Mouttaleb Hennaoui, que « la voie naturelle vers la résolution » de la crise politique actuelle passe par la recherche d'une solution à ce qui a causé la crise », en l'occurrence les nominations sécuritaires. Il a ainsi estimé qu'il existe « une panoplie de solutions légales qui pourraient déboucher sur un mécanisme de travail gouvernemental. Nous pensons que c'est là une chose simple et que nous pouvons parvenir à un accord à cet égard à l'instar de ce qui s'est fait dans le passé. C'est ainsi que le gouvernement se verra redynamisé et qu'il pourra s'atteler à la satisfaction des besoins des citoyens. Ce serait là un premier pas qui permettrait de rapprocher les points de vue dans l'optique de l'examen des autres problématiques » qui divisent actuellement la classe politique.
S'attardant sur le contexte géopolitique régional actuel, Naïm Kassem a déclaré que « la résolution des problèmes n'est pas actuellement facilitée sur le plan régional », et le fait d'espérer que ce sera possible « ne fera que plus de mal encore ». Et de conclure qu'il appartient aux hommes politiques de faire preuve d'assez de courage « pour arracher des solutions sans perte de temps et sans négliger les intérêts des citoyens ».
Liban - Gouvernement
Kassem: La solution à la crise passe par le dossier des nominations sécuritaires
OLJ / le 15 septembre 2015 à 00h00
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a affirmé hier, à l'issue de son entretien avec le ministre de la Jeunesse et des Sports Abdel Mouttaleb Hennaoui, que « la voie naturelle vers la résolution » de la crise politique actuelle passe par la recherche d'une solution à ce qui a causé la crise », en l'occurrence les nominations sécuritaires. Il a ainsi...
commentaires (4)
Ces Évenements en sœur-syrie ne sont qu’un guet-apens organisé par l’excroissance du Walïyoulfakîh, ce héZébbb, de connivence avec son appendice en huit bääSSyriaNique Le Sain libanais ne faisant que leur réagir. En se répandant à côté, leur milice cagoulée en chemises noires chiffonnées s’éparpilla armée dans tout ce que peut compter cette sœur Malade de ruelles malfamées. Plastronnant devant le Caravansérail libanais en menaçant de renverser tout sunnite 1er ministré qui ne lui plaît, en vue d'établir un ministère monochrome en noir à son image sous la houlette apparente des séid es pions affidés PN SS, BÄÄS et autres Oranginés pseudo-laïcisés. Ils battent la générale. Wéhhééébb, Beau-Sieur, Quandîl et surtout BoSSfaïr se disputent "l'honneur" de cette initiative ! Bardés d’armes, ils grondent avec leurs cris : A bas Tâïîf. Une foule tchadorisée vient même baiser sa chemise chiffonnée au Sous-noirci cloîtré, prête à défendre sa Wilâyâh indomptable qui effleure enfin le doux sable doré de ce Liban méditerranéen beau et évolué ; levantin de tout temps ; l’envieuse aux paupières cousues déjà. Dans ce simulacre de combat machiné, le fakkîh, en réalité, n’aura battu que son ombre. Combat ne servant en réalité qu’à lui fournir le prétexte du maintien de sa milice en sœur-syrie, but véritable de cette comédie grossièrement montée ainsi que des violences dans les autres régions sous sa domination. Alea Jacta Est !
ANTOINE-SERGE KARAMAOUN
10 h 14, le 15 septembre 2015