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Liban

Bassil : Nous ne bloquons pas, nous nous opposons aux violations...

Le ministre des Affaires étrangères a effectué hier une tournée dans le Koura.

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a effectué hier une tournée d'inspection dans le Koura où il s'est arrêté dans de nombreuses localités du caza.
Prenant la parole, M. Bassil a souligné : « Nous appelons à des rencontres et des dialogues. Nous avons une cause juste et digne car nous sommes de bons citoyens. Bien sûr que nous sommes avec un véritable partenariat dans le pays, selon les bases prévues par la Constitution ; nous faisons d'ailleurs partie des fondateurs de ce partenariat. »
Mettant l'accent sur les projets que le Courant patriotique libre (CPL) a proposés et qui ont été, selon lui, refusés, il a noté que « c'est comme s'il relève de notre destin de lutter contre l'ordre établi. Nous avions déjà mis en garde nos alliés et nos détracteurs contre le régime syrien, nous avions aussi mis en garde contre les atteintes à la souveraineté du Liban, nous avions appelé à la formation de gouvernements selon les principes de la Constitution, cela s'applique aussi à l'élection d'un président de la République ; toutes nos propositions ont été rejetées ». « Il relève de notre devoir de critiquer quand la loi n'est pas respectée. Nous ne bloquons pas, nous nous opposons aux violations. Nous ne nous taisons pas et nous ne regardons pas les choses les bras croisés, nous attaquons pour parvenir à un résultat », a-t-il dit. « Il est toujours temps de revenir sur les erreurs qui ont été commises », a-t-il poursuivi, appelant à « la lutte contre le terrorisme ».
« Nous sommes de bons citoyens, parce que nous appelons à la souveraineté, la liberté et l'indépendance. Nous voulons que le Liban soit l'entité nationale qui porte un message sur la convivialité. La mise en place d'un État laïc est notre projet politique par excellence », a-t-il souligné en conclusion.

Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a effectué hier une tournée d'inspection dans le Koura où il s'est arrêté dans de nombreuses localités du caza.Prenant la parole, M. Bassil a souligné : « Nous appelons à des rencontres et des dialogues. Nous avons une cause juste et digne car nous sommes de bons citoyens. Bien sûr que nous sommes avec un véritable...

commentaires (2)

BASSILO GENDRISSIMO PARAVENTISSIMO... ENTRE NOUS... APPELEZ LES CHOSES COMME VOUS VOULEZ... ILS SONT TOUJOURS DU BOYCOTTAGE !

LA LIBRE EXPRESSION

15 h 59, le 03 août 2015

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Commentaires (2)

  • BASSILO GENDRISSIMO PARAVENTISSIMO... ENTRE NOUS... APPELEZ LES CHOSES COMME VOUS VOULEZ... ILS SONT TOUJOURS DU BOYCOTTAGE !

    LA LIBRE EXPRESSION

    15 h 59, le 03 août 2015

  • Si les "purs" oranges, les patriotes de "bonne petite famille" avaient, en lâchant la Cédraie, préparé le terrain sur lequel devaient grandir les chemises noires Per(s)cées et chiffonnées, ils méritent, par contre, cet éloge, qu'au lieu d'exagérer le sentiment chauvin ; comme en 90 ; maintenant qu'ils disposent d’1 grosse partie du pouvoir, ils rampent devant l'étrange étranger et, au lieu de libérer le pays, le laissent réinvestir par ces mêmes noussaïrîs bää bää bääSSyrianiques. L'entrée en masse des boSSféràriens au sein du pouvoir, met fin à la "dictature libérale" nantie des Hariri. Il est généralement admis que tout Beauf qui se respecte ne doit jamais avoir perdu la "fine qualité campagnarde libanaise. Or, non seulement le bout(r)on(eux)ais, le béssîîîl, avait perdu cette "fine" qualité, non seulement il avait été à toute les élections "écrasé", mais il s'était même cru + député que les vrais députés. Pour montrer l’importance de cette "entrée en masse, il suffit de remarquer qu'elle était 1 réaction des Petits campagnards oranginés qui avaient dû payer les frais de la Cédraie à la place des gros. Cette "entrée" fut très bien accueillie par Nabääâh 1er le noirci ; à qui les "libéraux" nantis des Hariri n'avaient procuré sous leur règne ni gloire ni profit, lequel salua le Beauf aigri comme le pont qui le conduirait à mettre la main sur le pays ; et par eux-mêmes, les petits oranginés, qui voyaient par contre en cet hassine le seul qui châtierait enfin ces mêmes Hariri.

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    03 h 49, le 03 août 2015

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