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Lifestyle

Qui peut ne pas aimer Gérard Depardieu...

À la 68e édition du Festival de Cannes, le comédien Gérard Depardieu qui avait disparu ces dernières années de l'écran – « Je m'occupais d'un tas de choses, je suis un acteur à la retraite », a-t-il jugé bon de préciser – était plus que présent. Mais de cette présence qui ne pourrait en aucun cas passer inaperçue : il y a une carrure, massive, imposante, et il y a un rire, tonitruant et qui résonne encore dans les couloirs du Palais du Festival.
Présent donc pour le film de Guillaume Nicloux, Valley of Love, où il retrouve Isabelle Huppert avec laquelle il n'avait pas tourné depuis Loulou (1980), et dans lequel il livre une performance remarquable.
Présent également dans le documentaire de Richard Melloul projeté hier, avant son film, et qui dévoile des facettes inconnues de ce monstre sacré.
Trois raisons pour aimer encore et toujours ce Gégé international :
Il n'a pas honte d'avouer qu'il a fait ce métier parce qu'il n'avait pas envie de travailler et qu'il aime de plus en plus regarder les gens de ce milieu dont il est le premier spectateur.
Pour ses blessures qu'il transforme en grand rire fracassant et parce que, pour lui, les morts continuent à vivre avec nous.
À sa façon de dire, exactement comme dans le film de Nicloux : « Qu'est-ce qu'il fait chaud ici ! » Mais aussi : « C'est magnifique de retrouver une étreinte. »
Comment ne pas l'aimer...

C. K.

À la 68e édition du Festival de Cannes, le comédien Gérard Depardieu qui avait disparu ces dernières années de l'écran – « Je m'occupais d'un tas de choses, je suis un acteur à la retraite », a-t-il jugé bon de préciser – était plus que présent. Mais de cette présence qui ne pourrait en aucun cas passer inaperçue : il y a une carrure, massive, imposante, et il y a un rire,...

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