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Liban

Ils ont dit...

- Tammam Salam a déploré la mort « d'un leader intelligent et courageux ». « Le Liban a perdu un grand soutien, un homme qui n'a jamais manqué de lui apporter son aide en toutes circonstances », a-t-il ajouté.

- Le mufti de la République, Abdellatif Deriane, a appelé hier à consacrer les prières du vendredi au grand disparu dans toutes les mosquées du Liban. Dans son prêche, il a déploré le départ « d'un homme qui s'est tenu aux côtés du Liban et l'a soutenu durant toutes les étapes ». Le mufti du Nord, Malek Chaar, a exprimé sa « grande tristesse en raison de la mort d'un grand sage du monde arabe ». Le mufti de Tyr, Hassan Abdallah, a estimé qu'« avec la disparition du roi Abdallah, le Liban perdait un homme très généreux à son encontre ». Le mufti du Akkar, Zeid Zakaria, a mis l'accent sur la constance du soutien apporté par le défunt roi au Liban. Pour sa part, le cheikh Akl druze, Naïm Hassan, a présenté ses condoléances « pour un roi qui a accordé au Liban son soutien et a accompagné le processus de construction de l'État ».

- Le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, a insisté sur le rôle joué par le défunt roi dans la consolidation de la coopération et du dialogue islamo-chrétien, ainsi que sur son habileté à régner en des temps difficiles, notamment au niveau de l'après-11 Septembre. « C'était un dirigeant vers lequel se sont tournés les peuples dans leur quête de liberté, notamment en Syrie, en Irak, en Égypte et en Libye », a ajouté M. Geagea, mettant l'accent sur son soutien indéfectible au Liban.

- Dans un tweet, le député Walid Joumblatt, leader du Parti socialiste progressiste, a écrit : « Le grand chevalier arabe Abdallah ben Abdel Aziz n'est plus. »

- « Le roi Abdallah était l'un des principaux soutiens au Liban dans tous les domaines », a déclaré l'ancien Premier ministre Sélim Hoss.

- Pour Nagib Mikati, ancien président du Conseil des ministres, « le Liban a perdu avec le roi Abdallah un grand frère qui l'a aidé à préserver son unité ».

- Dans un communiqué publié suite à la mort du roi d'Arabie saoudite, Farid Makari, vice-président du Parlement, a affirmé que « les Arabes ont perdu un monarque qui plaidait leurs causes, et le Liban une garantie de stabilité ».

- C'est par des mots émus que le ministre de la Justice, Achraf Rifi, a exprimé sa tristesse du fait que « le Liban a perdu un frère et un grand ami ».

- « Cet homme était courageux et audacieux, capable d'appeler au rapprochement et de colmater toutes les brèches, notamment au Liban », a déclaré le ministre de l'Environnement Mohammad Machnouk.

- Le ministre des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a adressé un message de condoléances à son homologue saoudien et aux membres de la famille royale pour le décès du roi Abdallah, affirmant que ce décès est « une grande perte pour le royaume, le monde arabe et le Liban ».

- Le ministre de l'Information, Ramzi Jreige, a déploré « le départ d'un grand homme connu pour son sens de l'amitié, de la paix, de la modération et de la dignité, et pour son soutien au Liban, à son peuple et son armée ».

- Pour Boutros Harb, ministre des Télécommunications, la mort du roi Abdallah « est une très grande perte pour le royaume comme pour les mondes arabe et musulman ».

- Le député Marwan Hamadé a déclaré
qu'« avec le départ du roi Abdallah, nous avons perdu un architecte des réformes et la pierre angulaire des efforts de résolution des conflits ».

- Le député Robert Ghanem a salué en Abdallah ben Abdel Aziz « un homme rassembleur et soucieux de l'unité des rangs des pays arabes ».

- « Le Liban a perdu un grand frère », a affirmé le député Samir el-Jisr, rendant hommage à « un leader intelligent, un homme courageux et un roi sage ».

- Selon le député Nadim Gemayel, « avec le départ du roi Abdallah, le Liban perd un soutien et un homme qui s'est toujours tenu à ses côtés ».

- « Le roi Abdallah ben Abdel Aziz était un serviteur du bien, de la paix et de la modération dans notre région », a souligné le député Ziad Kadri.

- « Un grand homme. » C'est par ces mots que le député Kazem Kheir a qualifié le monarque disparu.

- Pour le député Nehmé Tohmé, la disparition du roi Abdallah est « une perte autant saoudienne et arabe qu'internationale ».

- À la suite du décès du roi Abdallah, la députée Nayla Tuéni a insisté sur le fait que « l'Arabie saoudite a toujours été, et restera, un soutien pour les institutions au Liban ».

- Le député Mohammad Kabbara a déploré « la perte d'un ami et d'un frère du Liban », espérant que « le règne du roi Salmane ben Abdel Aziz sera un règne de paix, de progrès et de sécurité pour le royaume et le reste des pays arabes ».

- « Le peuple libanais se souviendra toujours de sa présence continue à ses côtés et de son soutien indéfectible à sa sécurité et son économie », a assuré le député Mohammad Safadi, dans sa lettre de condoléances.

- Le député Antoine Saad a exprimé sa « tristesse profonde » à la suite du départ « d'un grand homme politique dont l'histoire se souviendra ».

- « La ligne de conduite du roi Abdallah a été un facteur de stabilité et de paix dans le royaume », a estimé le député Henri Hélou.

- Le député Mohammad Kabbani a salué dans le défunt roi « un leader d'une grande intelligence, ayant laissé son empreinte par un nombre de positions courageuses et de projets de développement dans le royaume et ailleurs ».

- « Un roi dont le principal souci était de défendre les causes des populations arabes et musulmanes », a déclaré le député Qassem Abdel Aziz, qualifiant le défunt roi.

- Pour le député Talal Arslane, « le départ du roi Abdallah est celui d'un homme d'une grande noblesse, qui a aimé le Liban et s'est tenu à ses côtés dans les pires circonstances ».

- Le défunt roi était « un pilier de la paix, du dialogue et de la stabilité », pour l'ancien ministre de l'Information Walid Daouk.

- Le secrétaire général du courant du Futur, Ahmad Hariri, a déploré « la perte du roi de la modération », se disant convaincu que « le roi Salmane saura reprendre le flambeau de la meilleure façon qui soit ».

- « L'État libanais, son peuple et son armée n'oublieront jamais le soutien du roi Abdallah au Liban », a déclaré Michel Moawad, président du Mouvement de l'indépendance.

- Pour Wadih el-Khazen, président du Conseil général maronite, le défunt roi « a pavé la voie, par sa sagesse, à une renaissance du royaume et la résolution des conflits dans le monde arabe ».

- Nazek Hariri, veuve de l'ancien Premier ministre assassiné Rafic Hariri, a vu dans la perte du roi Abdallah « celle d'un homme d'esprit, de dialogue et de modération ».

- Tammam Salam a déploré la mort « d'un leader intelligent et courageux ». « Le Liban a perdu un grand soutien, un homme qui n'a jamais manqué de lui apporter son aide en toutes circonstances », a-t-il ajouté.
- Le mufti de la République, Abdellatif Deriane, a appelé hier à consacrer les prières du vendredi au grand disparu dans toutes les mosquées du Liban. Dans son prêche, il...

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