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Liban

Clôture d’un projet libano-italien qui a assuré des chauffe-eau solaires à 66 bâtiments publics

MM. Machnouk (à droite) et Morabito lors de la clôture du projet. Photo Dalati et Nohra

Hier, au Grand Sérail, s'est déroulée la cérémonie de clôture du projet de réduction des effets du changement climatique par les énergies renouvelables, financé par le gouvernement italien et exécuté par le ministère de l'Environnement, sous le parrainage du ministre Mohammad Machnouk.
Ce projet, comme l'a rappelé l'ambassadeur d'Italie Giuseppe Morabito, a fourni des équipements qui ont couvert une superficie de 1 640 mètres carrés, assurant des chauffe-eau solaires à 66 bâtiments publics, dont 33 centres de la Croix-Rouge libanaise (CRL), 18 orphelinats, quatre maisons de repos, quatre prisons, trois hôpitaux, deux centres médico-sociaux, un asile et le Centre d'études marines du Conseil national de la recherche scientifique (CNRS). Le projet, qui s'est étendu de 2011 à 2014, a coûté un million d'euros et a permis de réduire les émanations de gaz à effet de serre de 400 tonnes environ et les factures d'électricité jusqu'à 60 % dans certains cas.
Étaient présents à la cérémonie, outre MM. Machnouk et Morabito, les ministres de l'Information Ramzi Jreige, du Travail Sejaan Azzi, de l'Éducation Élias Bou Saab, de l'Économie Alain Hakim, ainsi que des représentants des ministres de la Justice et des Déplacés, et de nombreux ambassadeurs et personnalités de divers domaines.
M. Machnouk a mis en relief l'apport positif de ce projet qui vient bouleverser les idées reçues sur l'énergie renouvelable. « L'énergie solaire est souvent restée négligée au Liban, peut-être parce que l'énergie traditionnelle est disponible ou que le coût d'investissement est perçu comme élevé, a-t-il dit. C'est sans compter les économies au niveau de la facture d'électricité. Comme dans beaucoup de domaines, le Libanais a besoin de se familiariser avec une culture nouvelle. »
Pour ce qui est du projet lui-même, le ministre a estimé qu'il n'a pas qu'un aspect environnemental, mais aussi socio-économique. D'un point de vue économique, l'installation de ces équipements réduit considérablement la facture d'électricité, a-t-il rappelé. « D'un point de vue environnemental, ces équipements réduisent les émanations de gaz à effet de serre de quelque 400 tonnes par an, ce qui contribue aux efforts de l'État libanais pour honorer ses engagements envers la convention des Nations unies sur le changement climatique », a-t-il ajouté. Enfin, selon lui, ce projet se caractérise par son caractère national, puisque des institutions de toutes les régions libanaises en ont profité.
Parlant au nom du principal bénéficiaire, Rosy Boulos, présidente du département des volontaires à la CRL, a salué cette initiative, espérant que les 13 centres restants pourront un jour en profiter également.

Hier, au Grand Sérail, s'est déroulée la cérémonie de clôture du projet de réduction des effets du changement climatique par les énergies renouvelables, financé par le gouvernement italien et exécuté par le ministère de l'Environnement, sous le parrainage du ministre Mohammad Machnouk.Ce projet, comme l'a rappelé l'ambassadeur d'Italie Giuseppe Morabito, a fourni des équipements qui ont couvert une superficie de 1 640 mètres carrés, assurant des chauffe-eau solaires à 66 bâtiments publics, dont 33 centres de la Croix-Rouge libanaise (CRL), 18 orphelinats, quatre maisons de repos, quatre prisons, trois hôpitaux, deux centres médico-sociaux, un asile et le Centre d'études marines du Conseil national de la recherche scientifique (CNRS). Le projet, qui s'est étendu de 2011 à 2014, a coûté un million d'euros et a...
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