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Liban

Ils ont dit...

- Farès Souhaid, secrétaire général du 14 Mars, au journal koweïtien al-Anba' : « Nous croyons, en tant que forces du 14 Mars, que (le chef du CPL) le général Michel Aoun, est le candidat de l'Iran à la présidence de la République libanaise. Après avoir bâti une grande partie de sa légitimité populaire en maniant l'insulte contre les Hariri et leur rôle, il a commencé à donner des réponses ambiguës à des questions claires, ce qui lui fait croire qu'il est un candidat du centre. Jusqu'ici, il n'y a pas de décision officielle du 14 Mars concernant la candidature du chef des Forces libanaises, Samir Geagea, mais l'orientation générale au sein de l'alliance est en faveur de M. Geagea. »

-  Yassine Jaber, député de Nabatiyé et membre du bloc berryste, à la Voix du Liban 100,5 : « Après la fin du processus législatif, le président de la Chambre, Nabih Berry, convoquera avant fin avril le Parlement à une séance pour l'élection du président de la République. »

- Antoine Andraos, vice-président du courant du Futur, à Radio-Orient : « Il faut que le 14 Mars adopte une position unifiée (sur la présidentielle). Ce sont les chrétiens du 14 Mars qui doivent se décider, avant le courant du Futur, car il ne revient pas à ce dernier de présenter un candidat à la présidence maronite. Si nous mettons de côté les intérêts individuels, il nous sera possible de nous entendre. »

-  Ahmad Fatfat, député de Denniyé (bloc du Futur), à la Voix du Liban 93,3 : « Le chef du bloc du Futur, Fouad Siniora, effectue des contacts avec toutes les parties afin de parvenir à une position unifiée des forces du 14 Mars (sur la présidentielle). Nous souhaitons un candidat d'entente entre ces forces. Le gouverneur de la Banque du Liban (Riad Salamé) ne saurait être considéré comme un candidat du 14 Mars. »

-  Élias Bou Saab, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, interrogé par des journalistes en marge d'une cérémonie de remise de prix à des écoliers de Saïda : « Je suis opposé à tout amendement de la Constitution en vue de l'élection présidentielle. Rien ne justifierait aujourd'hui un amendement. Celui-ci nécessite les voix des deux tiers des députés de la Chambre. Or, si ces deux tiers peuvent se réunir, ils peuvent élire un président. »

-  Salim Salhab, député du Metn (bloc du Changement et de la Réforme) à la Voix du Liban 93,3 : « Des concertations sont menées autour de la présidentielle. Nous ferons tout notre possible pour que cette échéance soit respectée. Il y a une coordination totale entre les composantes du 8 Mars et une tactique a été adoptée, mais n'anticipons pas. »

-  Ziad Kadri, député de la Békaa-Ouest-Rachaya et membre du bloc du Futur, à Radio-Liban libre : « La présidentielle a une dimension libanaise très importante et le jeu interne y tient une large part, comme ce fut le cas lors de la présidentielle de 1970. Saad Hariri (chef du courant du Futur) a dit à plusieurs reprises qu'il fallait que le 14 Mars se présente à cette échéance avec un candidat unique. C'est ainsi que la candidature (du chef des Forces libanaises), Samir Geagea, est tout à fait naturelle. Je souhaite le succès à M. Geagea, car son accession à la présidence aurait pour effet de libaniser davantage la décision politique du Liban. »

- Farès Souhaid, secrétaire général du 14 Mars, au journal koweïtien al-Anba' : « Nous croyons, en tant que forces du 14 Mars, que (le chef du CPL) le général Michel Aoun, est le candidat de l'Iran à la présidence de la République libanaise. Après avoir bâti une grande partie de sa légitimité populaire en maniant l'insulte contre les Hariri et leur rôle, il a...

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