L'émissaire international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a rencontré vendredi l'émir du Qatar à Doha, où il est arrivé dans le cadre d'une tournée régionale visant à préparer la conférence internationale de paix dite de Genève-2.
M. Brahimi s'est contenté de déclarer aux journalistes à Doha que l'entretien avec cheikh Tamim ben Hamad Al Thani avait été "fructueux".
Le Qatar soutient activement l'opposition syrienne et jouait un rôle central dans la gestion du dossier syrien jusqu'à l'abdication fin juin de l'ancien émir, cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, au profit de son fils.
L'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe s'est déjà rendu en Turquie, en Jordanie, en Irak, en Egypte, au Koweït et au sultanat d'Oman dans le cadre de cette tournée qui doit encore le mener en Iran et en Syrie.
Jeudi, il a rencontré en Turquie le chef de l'Armée syrienne libre, principale formation rebelle, et d'autres dirigeants des combattants anti-régime.
Lakhdar Brahimi tente de convaincre toutes les parties de la nécessité de rassembler autour d'une table le régime et des représentants de l'opposition lors d'une conférence de paix dont la tenue est espérée en novembre à Genève.
Les opposants, en désaccord sur leur participation ou non à la conférence de Genève-2, réclament que de telles négociations portent sur un changement de régime et le départ d'Assad.
M. Brahimi avait souligné dimanche que des pourparlers ne pourraient se dérouler à Genève à défaut d'une opposition "crédible".
Plus de 115.000 personnes ont été tuées, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, depuis le début en mars 2011 du soulèvement contre Bachar al-Assad, qui s'est transformé en guerre civile, poussant des millions de Syriens à fuir leur foyer.
M. Brahimi s'est contenté de déclarer aux journalistes à Doha que l'entretien avec cheikh Tamim ben Hamad Al Thani avait été "fructueux".
Le Qatar soutient activement l'opposition syrienne et jouait un rôle central dans la gestion du dossier syrien jusqu'à l'abdication fin juin de l'ancien émir, cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, au profit de son fils.
L'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe s'est déjà rendu en Turquie, en Jordanie, en Irak, en Egypte, au Koweït et au sultanat d'Oman dans le cadre de cette tournée qui doit encore le mener en Iran et en Syrie.
Jeudi, il a rencontré en Turquie le chef de l'Armée syrienne libre, principale formation rebelle, et d'autres dirigeants des combattants anti-régime.
Lakhdar Brahimi tente de convaincre toutes les parties de la nécessité de rassembler autour d'une table le régime et des représentants de l'opposition lors d'une conférence de paix dont la tenue est espérée en novembre à Genève.
Les opposants, en désaccord sur leur participation ou non à la conférence de Genève-2, réclament que de telles négociations portent sur un changement de régime et le départ d'Assad.
M. Brahimi avait souligné dimanche que des pourparlers ne pourraient se dérouler à Genève à défaut d'une opposition "crédible".
Plus de 115.000 personnes ont été tuées, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, depuis le début en mars 2011 du soulèvement contre Bachar al-Assad, qui s'est transformé en guerre civile, poussant des millions de Syriens à fuir leur foyer.
L'émissaire international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a rencontré vendredi l'émir du Qatar à Doha, où il est arrivé dans le cadre d'une tournée régionale visant à préparer la conférence internationale de paix dite de Genève-2. M. Brahimi s'est contenté de déclarer aux journalistes à Doha que l'entretien avec cheikh Tamim ben Hamad Al Thani avait été "fructueux". Le Qatar...
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