M. Hale avait déclaré à sa sortie de Aïn el-Tiné que « les États-Unis aspirent à un partenariat avec le Liban pour soutenir la paix, la stabilité et la sécurité ». Il a ajouté que le chef du département d’État John Kerry est aujourd’hui à Genève pour examiner la possibilité de trouver une formule diplomatique visant à éliminer les armes chimiques qui se trouvent aux mains du régime de Bachar el-Assad.
M. Hale a estimé que les menaces d’une frappe militaire américaine ainsi que les négociations fructueuses entre les présidents Barack Obama et Vladimir Poutine ont pavé la voie à une telle issue.
« Le régime Assad a maintenant reconnu qu’il possédait de telles armes, a déclaré M. Hale. Il n’y a pas de doute qu’il les a utilisées contre son peuple. Il n’y a aucun doute non plus qu’il les utilisera une fois de plus si nous n’agissons pas. Personne ne peut vivre dans un monde où est employé ce type d’armes et personne n’accepte l’idée de leur existence même, surtout les pays qui se trouvent dans le voisinage de la Syrie, tels que le Liban. Par conséquent, a-t-il conclu, nous ne tolérerons aucunement le recours à ces armes. »
Il dit le voisinage de la Syrie en nommant le Liban , mais israel aussi est un voisin , un oubli coupable mister hallé ouste . Et puis un mensonge de plus ou de moins qu'est ce que ça peut vous faire , vous yanky sionisés?? heinn!!!
13 h 57, le 13 septembre 2013