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Culture - Événement

« Nehna Wel Amar Wel Jiran » investit les escaliers du Vendôme du 6 au 8 septembre

Organisé pour la 3e année consécutive par le Collectif Kahraba, le Festival « Nahna Wel Amar Wel Jiran » se tiendra les 6, 7 et 8 septembre à Mar Mikhaël, sur les escaliers de l’ancien cinéma Vendôme.

Une séance de conte sur le toit, plus proche de la lune et entre voisins...

Au programme de cet événement (qui ne craint décidément pas les possibles retombées de ce qui se passe chez nos jiran terrestres!): des concerts, des pièces de théâtre, des spectacles de danse contemporaine, de contes et de marionnettes... Un florilège d’animations qui seront présentées chaque soir, à partir de 19h, dans une ambiance décontractée et conviviale.
Les soirées, qui se déroulent en plein air, afin de permettre aux spectateurs de se réapproprier en tant qu’espace public ce quartier en péril et en pleine métamorphose, sont placées sous le signe de « l’art de la rencontre ». Rencontre, sans contrepartie pécuniaire (le festival est
entièrement gratuit) entre les 30 artistes et structures culturelles et le public. Rencontre entre les diverses générations parmi ce dernier. Et enfin, coopération entre les organisateurs et les riverains, qui accueillent en « voisins » les badauds et spectateurs.
Cette année, la collaboration avec les voisins s’est encore accrue. Ces derniers ne se limitant plus à l’accueil se prêtent également au jeu d’un projet d’installation photographique dont ils sont les acteurs principaux.
Car, parallèlement aux spectacles d’arts vivants, le festival propose également deux installations. L’une photographique donc, signée Rima Maroun, Elsie Haddad et Lara Tabet, et réalisée par le Collectif Kahraba, avec le soutien de Dar Onboz et de la galerie Janine Rubeiz. Et la seconde urbaine, intitulée «Sous les tours... la mer», signée Christian Zahr.
Quant aux autres performances au menu de ces 3 soirs de festivités artistiques, elles se succéderont comme suit : de 20h à 22h15 danse contemporaine de Clara Sfeir ; théâtre et conte jeune public (La fête du pain présenté par Twin Collective) et Ya ward min bichtrike (spectacle de marionnettes signé Warak) ; concert (à partir de 20h45) des élèves du Conservatoire national supérieur de musique, suivi de Beyouth sépia (théâtre pour adulte de Christèle Khodr, à 21h15) et de Mancopy (danse contemporaine en provenance du Danemark).
Seuls les concerts de 22h15 seront différents chaque soir. Avec le chant, oud et percussions de Mustafa Saïd et Joss Turnbull le 6 septembre. Le duo de violon et percussion de Dominique Pifarely et Michele Rabbia, le 7 septembre. Tandis que la soirée de clôture du 8 mêlera jogging et performance-théâtre !
Rappelons enfin que le Collectif Kahraba est une compagnie de théâtre constituée d’artistes d’horizons divers engagés dans la vie artistique libanaise depuis plus de 4 ans et ayant comme priorité l’exploration de formes d’expressions variées et la conception de moments artistiques conviviaux. « Parce qu’il est important de nous rassembler et de vivre ensemble des instants de beauté et que l’art et la culture sont vecteurs de paix »,
disent-ils!
Au programme de cet événement (qui ne craint décidément pas les possibles retombées de ce qui se passe chez nos jiran terrestres!): des concerts, des pièces de théâtre, des spectacles de danse contemporaine, de contes et de marionnettes... Un florilège d’animations qui seront présentées chaque soir, à partir de 19h, dans une ambiance décontractée et conviviale. Les soirées, qui se déroulent en plein air, afin de permettre aux spectateurs de se réapproprier en tant qu’espace public ce quartier en péril et en pleine métamorphose, sont placées sous le signe de « l’art de la rencontre ». Rencontre, sans contrepartie pécuniaire (le festival est entièrement gratuit) entre les 30 artistes et structures culturelles et le public. Rencontre entre les diverses générations parmi ce dernier. Et enfin, coopération...
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