Le secrétaire général adjoint de l'ONU pour les affaires politiques, Jeffrey Feltman, se rend lundi à Téhéran pour évoquer avec des responsables iraniens la situation en Syrie, au Liban et en Egypte, a rapporté dimanche l'agence Mehr.
Il doit rencontrer lundi matin le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a ajouté l'agence, sans donner d'autre détail sur cette visite alors que l'Iran est sous le coup de sanctions de l'ONU pour son programme nucléaire controversé.
C'est la première visite d'un haut responsable de l'ONU en Iran depuis celle de Ban Ki-moon fin août 2012 pour le sommet des pays non-alignés (NAM) actuellement présidé par l'Iran.
Téhéran, principal allié régional du président syrien Bachar al-Assad, a affirmé samedi que le gouvernement syrien allait coopérer avec la mission des Nations unies actuellement à Damas et lui permettre de visiter les zones visées par des armes chimiques utilisées selon l'Iran par des groupes rebelles.
L'Iran est accusé par les pays occidentaux et certains pays arabes de fournir des armes et un soutien militaire à l'armée syrienne, aux côtés du Hezbollah, le puissant groupe chiite libanais créé à l'initiative des Gardiens de la Révolution iraniens dans la foulée de l'invasion israélienne du Liban. Mais Téhéran a réfuté à plusieurs reprises l'envoi de forces militaires en Syrie.
M. Feltman était depuis mardi au Caire où il a conduit une série d'entretiens avec les autorités égyptiennes et des responsables des Frères musulmans pour "définir comment l'ONU pourrait soutenir au mieux des initiatives afin de restaurer la paix et d'oeuvrer à la réconciliation en Egypte", selon un porte-parole des Nations unies.
Il doit rencontrer lundi matin le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a ajouté l'agence, sans donner d'autre détail sur cette visite alors que l'Iran est sous le coup de sanctions de l'ONU pour son programme nucléaire controversé.
C'est la première visite d'un haut responsable de l'ONU en Iran depuis celle de Ban Ki-moon fin août 2012 pour le sommet des pays non-alignés (NAM) actuellement présidé par l'Iran.
Téhéran, principal allié régional du président syrien Bachar al-Assad, a affirmé samedi que le gouvernement syrien allait coopérer avec la mission des Nations unies actuellement à Damas et lui permettre de visiter les zones visées par des armes chimiques utilisées selon l'Iran par des groupes rebelles.
L'Iran est accusé par les pays occidentaux et certains pays arabes de fournir des armes et un soutien militaire à l'armée syrienne, aux côtés du Hezbollah, le puissant groupe chiite libanais créé à l'initiative des Gardiens de la Révolution iraniens dans la foulée de l'invasion israélienne du Liban. Mais Téhéran a réfuté à plusieurs reprises l'envoi de forces militaires en Syrie.
M. Feltman était depuis mardi au Caire où il a conduit une série d'entretiens avec les autorités égyptiennes et des responsables des Frères musulmans pour "définir comment l'ONU pourrait soutenir au mieux des initiatives afin de restaurer la paix et d'oeuvrer à la réconciliation en Egypte", selon un porte-parole des Nations unies.
Le secrétaire général adjoint de l'ONU pour les affaires politiques, Jeffrey Feltman, se rend lundi à Téhéran pour évoquer avec des responsables iraniens la situation en Syrie, au Liban et en Egypte, a rapporté dimanche l'agence Mehr.Il doit rencontrer lundi matin le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad Javad Zarif, a ajouté l'agence, sans donner d'autre détail sur cette visite...
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