Le principal groupe de l'opposition syrienne a dénoncé lundi l'exécution la veille d'un adolescent par des rebelles qui l'avaient accusé de blasphème.
"La Coalition nationale condamne tout acte qui viole les valeurs du peuple syrien et les principes de l'Armée syrienne libre (ASL, rebelles)", a indiqué le groupe dans un communiqué.
"Quiconque viole les traités et les conventions internationales, et commet un crime de guerre sera jugé quelque soit le camp auquel il appartient", a ajouté la Coalition.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) avait fait état dimanche de l'exécution de cet adolescent à Alep (nord).
Selon l'OSDH, il a été tué de deux balles devant sa famille par des radicaux de l'"Etat islamique en Irak et au Levant" qui l'ont entendu prononcer une expression jugée blasphématoire.
Cette exécution constitue "un cadeau" à M. Assad (le président Syrie Bachar al-Assad), dans la mesure où "ce type de crime est exactement la raison pour laquelle les gens en Syrie craignent la chute du régime", avait estimé cette ONG basée en Grande-Bretagne qui s'appuie sur un réseau de militants et de médecins.
Lundi, un réseau de journalistes-citoyens a distribué une interview vidéo avec les parents de l'adolescent.
"Ils l'ont tué devant moi (...) Puisse Dieu se venger d'eux", crie la mère.
"Je leur ai demandé pourquoi ils l'avaient tué (...) Nous ne sommes d'aucun bord (dans le conflit) (...) Pourquoi avez-vous tué mon fils ? Est-ce un terroriste ?".
Des militants font régulièrement état de violations des droits de l'Homme dans des régions comme Alep, où de larges secteurs, passés sous contrôle rebelle, sont le théâtre de crimes ou d'abus de pouvoir.
"La Coalition nationale condamne tout acte qui viole les valeurs du peuple syrien et les principes de l'Armée syrienne libre (ASL, rebelles)", a indiqué le groupe dans un communiqué.
"Quiconque viole les traités et les conventions internationales, et commet un crime de guerre sera jugé quelque soit le camp auquel il appartient", a ajouté la Coalition.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) avait fait état dimanche de l'exécution de cet adolescent à Alep (nord).
Selon l'OSDH, il a été tué de deux balles devant sa famille par des radicaux de l'"Etat islamique en Irak et au Levant" qui l'ont entendu prononcer une expression jugée blasphématoire.
Cette exécution constitue "un cadeau" à M. Assad (le président Syrie Bachar al-Assad), dans la mesure où "ce type de crime est exactement la raison pour laquelle les gens en Syrie craignent la chute du régime", avait estimé cette ONG basée en Grande-Bretagne qui s'appuie sur un réseau de militants et de médecins.
Lundi, un réseau de journalistes-citoyens a distribué une interview vidéo avec les parents de l'adolescent.
"Ils l'ont tué devant moi (...) Puisse Dieu se venger d'eux", crie la mère.
"Je leur ai demandé pourquoi ils l'avaient tué (...) Nous ne sommes d'aucun bord (dans le conflit) (...) Pourquoi avez-vous tué mon fils ? Est-ce un terroriste ?".
Des militants font régulièrement état de violations des droits de l'Homme dans des régions comme Alep, où de larges secteurs, passés sous contrôle rebelle, sont le théâtre de crimes ou d'abus de pouvoir.
Le principal groupe de l'opposition syrienne a dénoncé lundi l'exécution la veille d'un adolescent par des rebelles qui l'avaient accusé de blasphème."La Coalition nationale condamne tout acte qui viole les valeurs du peuple syrien et les principes de l'Armée syrienne libre (ASL, rebelles)", a indiqué le groupe dans un communiqué."Quiconque viole les traités et les conventions...
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