« Il faut vraiment réduire les interventions en Syrie et préserver la ville de Tripoli. Sérieusement, de grandes puissances (NDLR : les États-Unis et la Russie) essaient de régler les choses en Syrie, qui sommes-nous, au Liban, pour prétendre modifier l’équation syrienne ? »
Cette interrogation, une adresse à peine voilée au Hezbollah, c’est le chef du PSP Walid Joumblatt qui l’a posée à l’issue de son entretien avec le président de la Chambre Nabih Berry (lire en page 2).
Cette interrogation, une adresse à peine voilée au Hezbollah, c’est le chef du PSP Walid Joumblatt qui l’a posée à l’issue de son entretien avec le président de la Chambre Nabih Berry (lire en page 2).
« Il faut vraiment réduire les interventions en Syrie et préserver la ville de Tripoli. Sérieusement, de grandes puissances (NDLR : les États-Unis et la Russie) essaient de régler les choses en Syrie, qui sommes-nous, au Liban, pour prétendre modifier l’équation syrienne ? »Cette interrogation, une adresse à peine voilée au Hezbollah, c’est le chef du PSP Walid Joumblatt qui...
commentaires (9)
Qui sommes-nous? Mais le sort du Liban devrait etre, M. Joumblatt, entre nos mains, nous les Libanais et non entre les mains des grandes puissances etrangeres, vous ne trouvez-pas? Mais vous, vous faites toujours votre interet pour votre communaute, en changeant de camp et d'opinion et surtout de princpes dependemment des changements de situations...
Michele Aoun
23 h 04, le 25 mai 2013