Pancarte brandie par des manifestants en février dernier pour réclamer l’approbation de la grille des salaires.
« 50 % des Libanais vivent dans la pauvreté, 50 % des familles ne bénéficient pas de couverture maladie, 75 % des Libanais n’ont pas de retraite assurée, 50 % des employés ne sont pas cadrés et sont payés au salaire minimum, sans indemnités familiales ou de transport », a affirmé M. Gharib.
De son côté, Charbel Nahas a insisté sur l’importance des « mouvements syndicaux, associatifs, culturels et civils que l’État a pour obligation de protéger pour conserver la cohésion sociale dont a besoin toute société ».
Le président de l’Union des syndicats des employés de banque, Georges Hajj, a, quant à lui, appelé le Parlement à approuver rapidement la nouvelle grille des salaires avant la fin de son mandat et le nouveau gouvernement à modifier la structure de l’indice de cherté de vie, « pour qu’il s’adapte réellement aux nécessités de la société ».
« Le Comité de coordination syndical (CCS) mène une bataille pour une hausse des salaires des fonctionnaires, l’Union des syndicats des employés de banque mène une bataille pour défendre la dernière convention collective réelle dans ce pays, les employés de Spinneys se battent pour défendre leur droit syndical, les journaliers d’Électricité du Liban (EDL) et les contractuels de...
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