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Liban

De l’ADN ancien ?

Dès qu’on aborde le sujet de l’ambre, on a tous en mémoire le fameux roman de Michael Crichton, Jurassic Park, avec ses dinosaures ramenés à la vie grâce à de l’ADN récolté dans le corps d’un insecte fossilisé. La réalité est loin de la fiction, certes, mais peut-on considérer que les insectes fossilisés soient toujours une source d’ADN viable ?
Dany Azar, entomologiste et paléontologue, nie qu’une telle possibilité soit envisageable, se basant sur les recherches infructueuses effectuées à ce niveau dans le monde. « Il s’est avéré que tout ce qu’on avait cru être de l’ADN ancien n’est que de la contamination, explique-t-il. En d’autres termes, la préservation est extraordinaire d’un point de vue morphologique, mais il y a un échange entre les molécules (de l’insecte, de l’ambre...), d’où le fait que nous n’avons pas accès, à travers l’ambre, à du matériel authentique au niveau de l’ADN. »
Dès qu’on aborde le sujet de l’ambre, on a tous en mémoire le fameux roman de Michael Crichton, Jurassic Park, avec ses dinosaures ramenés à la vie grâce à de l’ADN récolté dans le corps d’un insecte fossilisé. La réalité est loin de la fiction, certes, mais peut-on considérer que les insectes fossilisés soient toujours une source d’ADN viable ? Dany Azar,...

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