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Dernières Infos - Dans la presse

La population syrienne est-elle victime d'armes chimiques ?

Omar, jeune garçon blessé grièveemtn dans un bombardement en Syrie. Photo tirée de Paris Match.

Dans sa dernière édition, l’hebdomadaire français Paris Match s’interroge sur l’utilisation éventuelle par le régime de Bachar el-Assad d’armes chimiques contre la population syrienne.

 

Sous le titre "Cet enfant est-il victime d’armes chimiques ?", le journal relate l’histoire d’un jeune garçon Omar, 13 ans, qui a perdu sa famille il y a deux mois dans l’explosion d’une bombe ayant dégagé une "fumée jaune" à Homs, la grande ville du centre de la Syrie, symbole de la rébellion. "Morts par suffocation, diront les médecins. Morts sans avoir été touchés directement", affirme le journal.

 

"Omar, alors dans une autre pièce, ne l’a pas été non plus. Mais deux jours plus tard sont apparues brûlures, plaies, cloques. Puis sont venus les troubles de l’équilibre, pertes de mémoire, douleurs musculaires", ajoute le correspondant de Paris Match. Pour le Dr Ghazi Aswad, chirurgien français d’origine syrienne, qui a examiné l’enfant soigné au Liban, ce sont des "symptômes de bombardements à l’arme chimique".

 

"En France, cet enfant martyr serait hospitalisé dans un centre de grands brûlés comme Percy. Ici ? Rien ou si peu ! On bricole... Au monde qui crève d’indifférence, je dis : “Regardez cet enfant que je suis obligé de renvoyer dans une chambre minable d’un centre de réfugiés, et qui vit dans le même survêtement depuis deux mois, depuis le jour du bombardement !”", dit encore le Dr Aswad à Paris-Match.

 

Dans sa dernière édition, l’hebdomadaire français Paris Match s’interroge sur l’utilisation éventuelle par le régime de Bachar el-Assad d’armes chimiques contre la population syrienne.
 
Sous le titre "Cet enfant est-il victime d’armes chimiques ?", le journal relate l’histoire d’un jeune garçon Omar, 13 ans, qui a perdu sa famille il y a deux mois dans l’explosion d’une...