Le ministre de l’Environnement Nazem Khoury a distribué les certificats écologiques à plusieurs institutions, notamment l’armée en la personne de son commandant en chef, le général Jean Kahwagi, l’Union européenne représentée par le chef de sa délégation au Liban, Angelina Eichhorst, le PNUD par son représentant au Liban, Robert Watkins, la Banque libano-française (BLF) par son PDG Farid Raphaël, la BankMed par Mohieddine Fathallah, la Banque libanaise pour le commerce (BLC) par son PDG Maurice Sehnaoui, la MEA par l’avocat Michel Tuéni, l’hôpital Haykal par le Dr Nisrine Bazerbaji, l’usine Zetra par son propriétaire Salim Zeenny, le centre IPT pour l’énergie par Mirna Issa. La MTV a reçu une distinction pour sa couverture des événements écologiques.
Pour sa part, M. Watkins a remis, au nom du PNUD, des certificats écologiques au ministre Khoury pour son action à la tête du ministère de l’Environnement, à la Banque du Liban en la personne de son gouverneur Riad Salamé, aux ambassadeurs d’Italie et d’Espagne, à la directrice du magazine Beyond Pascale Choueiri Saad, à l’association Green Cedars Lebanon représentée par Lara Hanna Debs, et à la chaîne al-Jadeed.
Le ministre Khoury a précisé que cette remise de certificats écologiques deviendra un événement annuel. « L’objectif de ces certificats est de sensibiliser chaque citoyen, chaque institution publique ou privée et chaque association à leurs responsabilités envers la protection de l’environnement, dont la dégradation atteint autant le pollueur que celui qui subit la pollution, a-t-il déclaré. Voilà pourquoi il est crucial que tout un chacun soit convaincu que la protection de l’environnement est une responsabilité partagée par tous. »
M. Khoury a qualifié les institutions à l’honneur de « pionniers » dans l’adoption d’initiatives vertes. Il a vu dans ces certificats écologiques une tradition qui approfondira le concept de partenariat entre le ministère et les acteurs sociaux.
Pour sa part, M. Watkins a estimé que « les menaces contre l’environnement aujourd’hui constituent la catastrophe du siècle, qui n’épargnera aucun pays ni aucun individu ». Il a considéré que la lutte pour un meilleur environnement au Liban a connu des progrès durant les quelques années précédentes, mais que de nombreux défis persistent.
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